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Par le traversier le 2 Juin 2015 à 20:24
Vidéo : il ramène un carnet de voyage "insolite" de son séjour au Québec
>> Pas de photos-souvenirs, mais un dessin animé désarçonnant mis en ligne sur Internet... Bruce Krebs ne cesse de surprendre. [...]
Rappel : qui est Bruce Krebs ? + son site
Découvrez cette petite vidéo du Rochelais Bruce Krebs ci-dessous.
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Par le traversier le 10 Novembre 2014 à 10:29
Mémoires d’une table à dessin
<time>10 novembre</time> | François Lévesque
>> Ses caricatures égaient les pages du Devoir depuis 1996. Esquissées avec un sens aiguisé du détail qui tue, les propositions satiriques de Garnotte permettent autant de se distraire que de se défouler collectivement. Exécutées avec intelligence,...
Cliquez dans le titre et l'image pour trouver l'article de François Lévesque dans Le Devoir
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Par le traversier le 4 Avril 2013 à 15:22
Les cerfs-volants
de Marco Casadio
(et quelques autres)au festival du cerf-volant
et du vent
de Châtelaillon-plageCliquez ici pour lire l'article de Sud-Ouest.
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Par le traversier le 18 Janvier 2013 à 09:39Vous les avez vus, ces oiseaux ? Non ? Alors lisez l'article de La Tribune !
>>> Début janvier: ciel plombé, crachin, humidité, je marche les épaules basses et soudain mon regard est capté par des couleurs lumineuses. Des oiseaux migrateurs s’envolent gaiement sur un ciel bleu des mers du Sud… Je l’ai pourtant vue et admirée cent fois, cette fresque de Poussin au 12, rue Alexandre-Gavard, à Carouge, mais aujourd’hui j’ai l’impression de découvrir toute la force communiquée par sa beauté.
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Par le traversier le 25 Novembre 2011 à 17:39
Les compagnonnages
Cinquième conférence dans le cadre de l’Université du Temps Libre de Marennes-Oléron. Le conférencier est Jean-Michel Mathonière, spécialiste des compagnonnages, et plus spécialement ceux des tailleurs de pierre (qui étaient appelés maçons).
En préambule, Philippe Lafon, le président de l’UTL-MO, nous parle de la stèle découverte à Saint-Pierre-d’Oléron, ayant servi de seuil de porte, et se révélant être une pierre tombale dont il a décrypté les inscriptions en partie effacées par l’usure des pieds.
Jean-Michel Mathonière va nous montrer surtout des aspects extérieurs des compagnons des XVIIIème et XIXème siècles, grâce à ses recherches iconographiques.
[Le compagnonnage s’est progressivement mis en place au XVème siècle, en réaction à l’emprise obligatoire des corporations. Des ouvriers « compagnons » voulaient pouvoir s’embaucher où ils le voulaient, fixer leur salaire, sans plus dépendre de leur maître.]
Les compagnons tailleurs de pierre étaient organisés en deux principales sociétés : les Compagnons passants et les Compagnons étrangers, mais c’était le même principe : les tailleurs de pierre ne faisaient que « passer » sur les chantiers et ils étyaient « étrangers » aux villes. Y a-t-il un rapport entre les sociétés de compagnonnage et les tailleurs de pierre du Moyen-âge ? Cela est vraisemblable, mais il n’y a pas de preuves irréfutables ; des traces à interpréter mais pas d’écrits.
Qu’y avait-il sous ces noms ou appellations : Hiram, les Enfants de Salomon, Maître Jacques, le Père Soubise ? Beaucoup d’hypothèses mais aucunes certitudes. Et puis il faut attendre 1655, avec les « Résolutions de la Sorbonne », pour avoir une description des rites de compagnons. En même temps c’était la condamnation, pour hérésie, par l’Eglise des sociétés de compagnons parce que le rituel implique une « renaissance » qui était réservée aux dogmes de la religion. Avec sa renaissance chaque compagnon reçoit un « surnom » et un qualificatif correspondant à une « vertu ».
Il y a beaucoup de similitudes entre les rites des maçons opératifs et des maçons spéculatifs au XVIIIème siècle, mais la parenté, voire la filiation, reste à prouver. On peut au moins envisager des emprunts croisés de symboles.
Le tour de France des compagnons tailleurs de pierre prend de trois à six ans. Ils ont l’obligation de laisser des marques de leur passage. Alors que toute la Bretagne est à l’écart du tour de France, en revanche La Rochelle, Rochefort et toute la côte jusqu’à Bordeaux sont des points de passages obligés. Les sièges des sociétés étant dans les grandes villes, Bordeaux était la capitale française des compagnons jusqu’au début du XXème siècle, pour les tailleurs de pierre.
Les compagnons en voyage se distinguaient par la façon dont ils portaient les « couleurs » (sautoirs, rubans, écharpes). Cela était la cause de beaucoup de bagarres.
La connaissance de la géométrie était la connaissance par excellence. Tout d’abord il fallait ne rien ignorer du « trait » = la stéréotomie. Chez les tailleurs de pierre les chefs-d’œuvre étaient plutôt appelés « maquettes ».
Cinq groupes principaux chez les compagnons tailleurs de pierre. Pas de maquettes pour les aspirants au tour France. Peu de maquettes de réception au début (après les années du tour de France) ; ensuite oui. Les sociétés de compagnons existent toujours : à la Toussaint 2010, on a fêté le bicentenaire des compagnons pâtissiers à Blois.
Agricol Perdiguier (1805-1875) a été le premier à écrire sur les compagnons. Comme il s’était fait élire député, il a pu être à l’origine d’un projet de loi sur la limitation du temps de travail et sur le travail des enfants.
Des compagnons ont émigré vers le Québec. On retrouve les surnoms de renaissance et les qualificatifs correspondant aux vertus qui ont été transformés en nom de famille.
Les compagnons en règle trouvaient de l’aide dans les villes où il allait pour se nourrir, se loger et trouver du travail. Au-delà de la taille de la pierre, ils avaient des compétences d’architecte, et on les employait aussi dans ce cadre. A Avignon se trouvent les grands rôles des Compagnons passants chez les tailleurs de pierre.
Questions :
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Rapport entre maçonnerie opérative et maçonnerie spéculative ? On ne peut pas apporter de réponse définitive.
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Des compagnonnages ailleurs ? Des exemples de micro-compagnonnage à Venise.
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Pourquoi la couleuvre autour de la canne ? Parce que la couleuvre est l’emblème de la prudence (c’est-à-dire l’expérience en latin).
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Le titre de compagnon n’est pas une carte de visite : il faut passer des concours comme celui de « Meilleur Ouvrier de France ».
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La vie personnelle des compagnons ? La famille ? Il fallait fuir la tentation du mariage !
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L’argent ? Beaucoup sont très correctement payés (parce qu’ils construisent pour les riches, notamment pour l’Eglise).
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Pré-syndicalisme
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Pourquoi pas le titre de « maître » en France alors que ce titre existe en Allemagne : la loi Le Chapelier de 1791 a dissout les corporations en France.
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Pas de compagnonnes avant nos jours. (Imaginez une femme allant à pied de ville en ville…)
Plus d'infos (et des illustrations) sur : www.compagnon.info
AlCaribou,
d'après la conférence de Jean-Michel Mathonière
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Par le traversier le 24 Octobre 2011 à 10:29
LE CERCLE DES ARTISTES QUÉBÉCOIS
S’INVITE AUX JOURNÉES FRANCOPHONES DE MARENNES
Nous vivons à une époque où on se plaît à mélanger les genres. L’exposition ne concerne donc pas la Belgique, mais le Cercle des Artistes, Peintres et Sculpteurs du Québec. Enfin presque, puisque, pour l’occasion, certains ont adhéré au CAPSQ , mais ne sont ni québécois, ni résidant au Québec.
Mais pas le moindre artiste belge. La Belgique regorge aussi pourtant d’artistes exceptionnels.Le Québec est une province francophone, soit. Et les artistes non québécois qui exposaient étaient sans doute francophones également...
Par ailleurs, le CAPSQ fait un travail remarquable pour faire connaître les artistes au Québec et à travers le monde.Bon. C’est une exposition. Si certaines œuvres sont intéressantes et (ou) informatives sur le Québec,
... voire innovantes comme ces toiles vernies en vogue actuellement à Montréal,... d’autres le sont beaucoup moins. C’est bien sûr le lot de toute manifestation de ce type et affaire de goût et de culture… et que peut-être je n’y entends rien, mais certains barbouillages ne me parlent pas ; j’y vois l’expression de pulsions plus que de l’art, et je suis surprise que certains artistes aient eu plus d’œuvres exposées que d’autres.
Il y avait heureusement aussi de très belles choses, et le jury fut bien embarrassé pour faire un choix…Un artiste belge, Eric Warnauts (illustrateur de bandes dessinées), devait toutefois venir à la médiathèque. (La Belgique est le pays par excellence de la BD.) Pas de chance ; il était malade…Flonigogne
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Par le traversier le 12 Septembre 2011 à 20:29Toute une année, un collectif d'associations (mené par le Mouvement de la paix), ainsi que la médiathèque et le salon du livre de Thénac, ont suivi des artistes sur les chemins de la paix. Ce beau parcours s'achève de magnifique manière, avec la formation d'une caravane d'artistes autour du pianiste Marc Vella. Il fut la révélation du salon du livre 2010, son talent, son empathie naturelle, et son message de tolérance et d'amour, en font un personnage exceptionnel. A Saintes, sur une gabare, face à l'arc de Germanicus, avec ce piano qui a fait le tour du monde avec lui, venez entendre cette surprenante musique (le 24 septembre à 20h30). Dans le programme ci- joint, vous choisirez encore, bien d'autres occasions de vivre des moments intenses, avec le talent et l'engagement des artistes, qui savent si bien nous faire entendre des messages de paix.Entrées libres
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Par le traversier le 11 Mai 2011 à 18:53Bonjour à tous,Bonne nouvelle :
la 7ème Biennale du VERRE et de la CERAMIQUE de CHANIERS
débutera par un vernissagele samedi 21 Mai à partir de 18h00
Et en plus cette année, des performances, danse, musique, poésie, chant...Pour en savoir plus sur cet évènement, nous vous convions à consulter la pièce jointe.Nous vous espèrons nombreux.A très bientôt.Chantale JOUETde l'Association **AMARRES**
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Par le traversier le 20 Avril 2011 à 20:58Bonjour à toutes et à tous.Vous trouverez ci-dessous une invitation pour l’AVANT PREMIERE de la Création « BRIN DE FEMMES » dont les participantes sont Agnès LE NOURS (écrivain-poéte et comédienne) Aline BOCENNO (musicienne et chanteuse) Loona (danseuse chorégraphe).Vous y trouverez toutes les informations qui peuvent vous être utiles.Ce spectacle est né de la rencontre de ces trois artistes, lors de « Instants de création au Fil de l’Eau » présenté par l’Association AMARRES dans le cadre des Itinéraires d’Artistes 2010.Les 6 jours passés sur le bateau qui glissait lentement sur la Charente ont permis aux artistes de mieux se connaître…et ont motivé l’envie de créer, ainsi les projets sont nés…« BRIN DE FEMMES » est la première d’une longue série de créations réunissant des artistes pluridisciplinaires.Déjà d’autres projets sont en marche pour 2011.C’est pourquoi, en tant que coordinatrice et amie des artistes de notre association, il m’a semblé important de vous convier à cette « AVANT PREMIERE »…Le travail accompli par Agnès, Aline et Loona est d’un investissement personnel profond, aussi j’espère que vous serez nombreux à venir les soutenir…N’oubliez pas de réserver votre place…. Et à très bientôt. Je l’espère. Chantale JOUET
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