• Le 25 novembre, c'est la Sainte-Catherine.

    Fête-t-on, au Québec, les filles à marier qui ont atteint 25 ans ? Fabrique-t-on des chapeaux ? On attend vos réponses !

     

    Vive la Sainte-Catherine !

     

    Il faut te marier beau papillon,
    Joli papillon, toi qui butine et voltige
    Parmi ces belles fleurs.
    Qui ont toutes un coeur ;
    Parmi elle, tu dois trouver l'âme soeur.

    Sur le chapeau le papillon cherche un coeur.
    Et beaucoup de coeurs ardents cherchent ;
    Les fleurs représentent la jeune fille ;
    Mais la jeune fille attend,
    Jusqu'au petit myosotis qui semble dire : ne n'oublie pas beau papillon ou un de tes frères.

    Les rubans multicolores :

    • Vert : espérance
    • Bleu : amitié
    • Rouge : amour ardent
    • Jaune : le ménage

    Le flot de petits rubans : suivez-moi, jeune homme...

    (25 novembre 1981)


  • Des fermiers électroniques en Saintonge !


    SAINTONGE ROMANE. Le Pays les a aidés dans leur démarche collective de promotion

    Les producteurs fermiers ouvrent vitrine sur le Net

    Grâce au site internet qui les réunit, les producteurs fermiers doivent élargir leur clientèle

    Une aubaine ! Le nom de domaine producteursfermiers.fr n'avait été acheté par personne. Le Pays de la Saintonge romane se l'est approprié afin d'offrir aux 42 producteurs fermiers engagés dans une démarche collective de promotion une visibilité idéale sur internet.

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    En ligne depuis trois semaines, ce site (1) a été présenté officiellement hier matin en un lieu symbolique du terroir saintongeais, la distillerie de Jean-Marc Brillouet au Hameau de Pirelongue, à Saint-Romain-de-Benet.

    (1) www.producteursfermiers.fr


  •  

    Cher(e) ami(e),

    L'année 2008, année du 400ème anniversaire de la Fondation de Québec par Samuel Champlain se termine.
    Comme nous vous l'avions annoncé, les skippers de la Renaude et de Avel Breiz qui ont fait la grande traversée au départ de la Rochelle et le retour aux sources au départ de Québec seront avec nous pour notre dernière animation de l'année au cours de laquelle ils nous  présenteront  leur DVD sur leurs aventures maritimes et terrestres.
    Vous êtes donc cordialement invité (e)  

    le vendredi 19 décembre 2008 à 19h30 à l' Abbaye Royale de St Jean d' Angély

    Après la présentation des documents de nos amis, nous continuerons à échanger autour d'un pique-nique  tiré de nos paniers.

    Je souhaite que vous pourrez  tous répondre favorablement à notre invitation.
    Pour une bonne organisation, je vous demande de bien vouloir me faire connaître votre participation.

    Comptant sur vous, recevez mes sentiments respectueux.

    Le Président
    Michel MAZOUIN

     



    PS :En pièce jointe une affichette que vous pouvez diffuser et donner à vos amis.

     
     
     
     
    note des blogmasters : ce document vous a été adressé par courriel pour que vous puissiez le diffuser

     


  • Le réseau de sentinelles de Vincent Ridoux recense notamment tous les échouages de dauphins ou de baleines. (photo Xavier léoty)

    Professeur à l'université de La Rochelle, Vincent Ridoux dirige également le Centre de recherches sur les mammifères marins. Il coordonne notamment un réseau de sentinelles chargées de recenser tous les échouages le long des côtes françaises.

    « Sud Ouest ». Depuis sa création en 1972, votre réseau a répertorié plus de 14 000 mammifères échoués, essentiellement des dauphins. Cette statistique est-elle alarmante ?

    Depuis sa création en 1972, votre réseau a répertorié plus de 14 000 mammifères échoués, essentiellement des dauphins. Cette statistique est-elle alarmante ?

    Vincent Ridoux. Pas forcément. Souvent l'animal meurt en mer, victime des tempêtes. L'ampleur de ces échouages varie d'une année à l'autre, entre 200 et 800. Certaines populations sont d'ailleurs beaucoup plus nombreuses qu'il y a vingt ans.

    Le marsouin, par exemple, à l'époque très rare sur la côte atlantique, est réapparu de manière explosive depuis trois ou quatre ans. Mais il s'agit d'une redistribution, sans doute parce que la ressource alimentaire est désormais plus importante chez nous qu'en Europe du Nord. Les phoques aussi semblent de plus en plus présents.

    À l'inverse, le dauphin commun n'est pas à la fête dans le golfe de Gascogne.

    Les années 90 ont été compliquées, en particulier à cause des filets utilisés à bord des chaluts pélagiques. Les dauphins ne survivaient pas à leurs blessures. Nous avons tiré la sonnette d'alarme. Depuis, les choses se sont améliorées.

    L'accueil des pêcheurs n'a pas dû être des plus chaleureux ?

    Les relations n'ont pas été simples au début. Nous passions pour des intrus. Mais le problème était réel et aujourd'hui les échanges se passent mieux.

    Il est aussi un ennemi plus sournois : le sac plastique. S'agit-il d'une véritable épidémie, ou bien le phénomène est-il anecdotique ?

    S'agit-il d'une véritable épidémie, ou bien le phénomène est-il anecdotique ?

    Le sac plastique fait surtout des victimes parmi les grands plongeurs, comme les baleines à bec, qui vivent très au large.Certaines, en effet, meurent après les avoir ingérés, pensant sans doute qu'il s'agit d'un calamar.

    Sans que le réchauffement climatique n'en soit la cause certaine, vous assistez également à l'apparition de quelques espèces exotiques dans nos eaux...

    C'est très ponctuel, en effet, mais spectaculaire. Nous apercevons parfois des dauphins tachetés, originaires des Bahamas, et des globicéphales tropicaux. Alors, bien sûr, notre antenne « réchauffement de la planète » se dresse aussitôt, mais, dans le même temps, nous voyons apparaître des phoques polaires...

    En collaboration avec le ministère de l'Environnement et l'Agence des aires marines protégées, vous avez dirigé cette année deux campagnes d'observation en Guyane et aux Antilles.

    Des survols aériens qui vont se poursuivre au-dessus de toutes les eaux françaises de la planète, de l'océan Indien au Pacifique, soit plus de quatre fois la surface de la Méditerranée ! Déjà la campagne 2008 nous a offert quelques surprises, en particulier aux Antilles, où nous n'imaginions pas croiser autant de grands cétacés comme le cachalot.

    Le golfe de Gascogne n'est hélas pas le Saint-Laurent, mais peut-on tout de même y apercevoir quelques grands spécimens ?

    Il y en a, oui, essentiellement des baleines à bec et des rorquals communs, dont certains atteignent les 20 mètres. Mais ils sont généralement loin des côtes.

    Auteur : Sylvain cottin
    s.cottin@sudouest.com


    Tags : Environnement Nature la rochelle saint-laurent Actualité

    SUD OUEST | Dimanche 23 Novembre 2008


  • Un dauphin dans le Vieux Port de La Rochelle (photo archives dominique jullian)

    Associée à l'Agence des aires marines protégées, l'université de La Rochelle organise jusqu'à demain un colloque entièrement consacré aux mammifères marins. Pour la première fois en Europe, scientifiques, décideurs et naturalistes se rassemblent afin de formaliser le suivi et la protection des dauphins, baleines, cachalots, morses et autres phoques.

    Au-delà du recensement des animaux que le Centre de recherche sur les mammifères marins (CRMM) assume depuis plus de trente ans le long du littoral français, deux campagnes d'observation viennent également d'être menées en Guyane et aux Antilles.

    « Les espèces les plus souvent observées ont été la baleine à bosse et le cachalot, les équipes scientifiques ont aussi pu observer une grande diversité d'oiseaux de mer, des tortues marines », expliquent Olivier Laroussinie, le directeur de l'Agence des aires marines, et Olivier Van Canneyt, professeur à l'université de La Rochelle.

    Des projets de sanctuaires

    « Les données recueillies serviront d'aide à la décision pour la création d'un sanctuaire pour les mammifères marins dans les Antilles françaises. Une seconde campagne s'est déroulée en Guyane. L'exploration dans cette zone, assez méconnue des scientifiques, a été riche en résultats et en surprises, notamment l'abondance très élevée de cétacés.

    Ces campagnes seront répétées tous les cinq ans afin d'avoir les données les plus complètes possible et d'appréhender les évolutions. Des études de suivi qui prennent place dans une politique globale d'évaluation de la qualité des eaux marines françaises.

    Situés au sommet de la chaîne alimentaire, les mammifères marins sont, en effet, de bons indicateurs de l'état écologique du milieu marin. Les données recueillies nous permettent de comprendre le comportement de ces espèces, mais aussi de disposer d'informations sur l'état du milieu. Elles nous aident aussi à évaluer l'état de conservation des populations et des habitats, à identifier les impacts possibles des activités humaines et à proposer des mesures de gestion efficaces, comme par exemple, la création d'une aire marine protégée. »

    Et si les Charentais-Maritimes n'auront sans doute jamais la chance de croiser des Bélugas, ils peuvent en revanche se consoler avec les importantes communautés de dauphins et de marsouins croisant au large de La Rochelle.

    Demain, le portrait de « Sud Ouest Dimanche » sera consacré au Rochelais Vincent Ridoux, le patron du Centre de recherche sur les mammifères marins

    Tags : Charente Maritime Environnement Nature la rochelle Actualité

    SUD OUEST | Samedi 22 Novembre 2008