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  • Bonjour,

    Nous avions mis ligne il y a quelques semaine un article de Pierrette Girard sur le voyage des trois générations des familles Provost et Vanier

    Nous avons obtenu leur autorisation pour publier leurs noms et photos, et vous invitons par conséquent à revenir sur cet article en cliquant sur le lien suivant :

    Le Voyage des familles Provost et Vanier


  • Bonjour tout le monde....

    Ainsi commençait notre guide tous les matins. Vous trouverez aujourd'hui un article sur notre passage à Toronto. Des impressions et des photos....

    Si ça vous dit, connectez-vous !

    Flonigogne


     

     


  • TORONTO

    Jour 2 du circuit

    Toronto, capitale de l’Ontario sur le lac éponyme. ville énorme, ville moderne, ville de gratte-ciels, ville rivale de New-York et en passe de devenir la plus grande ville nord-américaine.

    Elle annonce déjà ses dimensions au voyageur arrivant par les airs. On aperçoit sa tour CN (553 mètres) qui fut la tour d’observation la plus haute du monde récemment détrônée par le Durj Dubaï (818 mètres).

    Après avoir été un comptoir français (Fort Rouillé), elle prend en 1834 le nom de Toronto (Le mot Toronto signifie « l'endroit où les racines des arbres trempent dans l'eau » dans un dialecte mohawk de l'est du Canada) du nom de la rivière Toronto, rebaptisée Humbert. Elle doit sa croissance à l’industrie automobile et surtout aux usines General Motors.

    C’est actuellement une immense métropole cosmopolite, avec un pourcentage considérable de résidants nés hors du continent américain. Les asiatiques s’y sont implantés en grand nombre, et elle a son quartier chinois où il est inutile de parler anglais car on y trouve tout en mandarin. Les africains sont également de plus en plus nombreux.

    Bref, nous voici à Toronto. De grandes et larges avenues, les sirènes des ambulances et de la police, les tramways supports publicitaires, les gratte-ciels, les taxis orange, les enseignes lumineuses. L’homme veut toujours monter plus haut, et c’est ici caricatural : on va même jusqu’à rajouter des étages aux tours déjà existantes. Gratte-ciels miroirs qui se reflètent les uns dans les autres. Le passé se mire dans le moderne. Un gratte-ciel doré vitrine de la prospérité d’une banque, tours aux formes parfois étranges, les architectes rivalisant d’imagination et d’ingéniosité pour défier les lois la pesanteur. Jusqu’où ira cette folie ? Cet univers de film de science-fiction est terrifiant et fascinant à la fois. L’homme y est robotisé, élément d’engrenage infernal dans un « meilleur des mondes » à la Huxley.

    Et au milieu de ce béton, ce métal et ce verre, un coin de verdure. Et dans ce coin de verdure : un goéland. Banal, vous direz-vous ? Sans doute, mais comment cet oiseau marin, qui devrait se laisser flotter au gré des vagues, sur une crête d’écume a-t-il pu décider d’immigrer dans cet univers surréaliste et manger des hamburgers au ketchup ?

    Il n’a pas voulu me le dire…

     

    Flonigogne


  • Hebdo Rive Nord

    Une Festa italiana, à Saint-Sulpice mobilise malgré la pluie

    La Sinfonia Lanaudière veut populariser la musique classique

    Article mis en ligne le 31 août 2009 à 14:48
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    par Jean Numa Goudou

    Le dernier de la série de concerts (2008-2009) présentés par la Sinfonia de Lanaudière a fait salle comble samedi soir en l’église de Saint-Sulpice. Pour la sixième année consécutive, plus de 350 personnes ont pris part à «Festa italiana», un classique populaire dirigé par Stéphane Laforest et qui est également chef d’orchestre à Sherbrooke et premier chef assistant à l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM).

    Festa italiana comportait une vingtaine de pièces napolitaines les plus populaires et même de la musique du film Le parrain, qui, a quasiment hypnotisé la salle. Caruzo, O sole mio, Mamah, Nessun dorma, Funiculli Funiculla entre autres ont été popularisées par la Sinfonia qui était accompagnée du ténor Marc Hervieux.

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