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    André Brisson détient des cartes postales de gloriettes aujourd'hui disparues. (photo alban boigeol)

    Connaissez-vous les gloriettes ? Ce type de construction agrémentait la plupart des maisons bourgeoises et hôtels particuliers au XIXe siècle. « Les familles aisées venaient y chercher du repos, de la fraîcheur, l'occasion de bavarder et de prendre une tasse de thé », explique André Brisson, féru d'histoire locale, qui conserve des cartes postales où ces petits pavillons de jardins surélevés sont photographiés comme autant de curiosités locales. « En voici une qui rehausse le mur d'enceinte de l'ancienne maison Régnault, devenue la nouvelle poste et qui se situait boulevard des Jacobins, avant qu'il ne soit rebaptisé boulevard Lair », détaille notre érudit.

    Rue Coybo

    « Voyez ici celle qui surplombait le canal de la chaussée de l'Éperon, dans le bas du parc de l'ancienne école supérieure des jeunes filles. Elle aussi a été détruite ». D'anciens Angériens racontent que les élèves, les plus méritantes ou les plus douées, avaient le privilège de s'y détendre quelques heures. Et André Brisson de nous apprendre la fonction sociale de ces édifices : « On pouvait ainsi suivre les allées et venues des fiacres, en particulier des riches familles qui revenaient de leur maison de campagne vers leur hôtel particulier en centre-ville. Ces fiacres, souvent découverts, laissaient entrevoir les jolies toilettes des femmes, qui rivalisaient d'élégance en arborant chapeaux et voilettes ».

    La plupart des gloriettes étaient construites en bois sur Saint-Jean-d'Angély, mais pouvaient être aussi en fer forgé. « Celle de la chaussée de l'Éperon comprenait un coquet petit pavillon en pierre à sa base : un rez-de-chaussée qui permettait de s'abriter (voir d'y prendre quelques leçons de piano sans déranger les voisins). Une cheminée et un potager (un ancien poêle) agrémentaient le confort et aux beaux jours, les familles montaient dans leurs gloriettes, pour voir et être vus par les passagers des fiacres et bientôt, des premières automobiles ».

    Mais André Brisson s'inquiète : « La maison dont dépend cette gloriette est à vendre. J'ai bien peur que si cet édifice n'est pas classé, il soit un jour détruit ». Car la gloriette de la rue Coybo semble le dernier témoignage de ce type de construction visible depuis la rue. « Je connais des kiosques de jardin d'un style apparenté mais dans des jardins privés invisibles depuis la rue » continue notre interlocuteur.

    Achevons de le rassurer en réconfortant également tout amateur de patrimoine original : renseignements pris auprès du Service départemental de l'architecture et du patrimoine à La Rochelle, cette gloriette s'avère située dans le secteur ZPPAUP (1) qui délimite l'espace protégé dans la commune. Pour tout projet dans cet espace, l'architecte des Bâtiments de France doit être consulté. Gageons qu'il saura reconnaître à sa juste valeur l'intérêt de cette gloriette, dont le nom provient du mot « gloire ». Une gloire déchue certes, mais dont le seul et bel exemplaire qui subsiste ne mérite pas d'être à tout jamais perdu.

    (1) - Zone de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager

    Auteur : Alban Boigeol


    Tags : Saintonge Société Logement saint-jean-d'angély la rochelle Loisirs & Culture

    SUD OUEST | Vendredi 27 Février 2009<o:p> </o:p>


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    26 février 2009

    Quatre films québécois en compétition au Festival international des films de femmes

     

    Les films des cinéastes Léa Pool, Marquise Lepage, Laura Bari et Marie-Josée Saint-Pierre ont été sélectionnés en compétition dans le cadre du Festival international des films de femmes (FIFF) qui se tiendra du 13 au 22 mars à la Maison des arts de Créteil.

    Maman est chez le Coiffeur de Léa Pool (Productions Equinoxe) est sélectionné dans la catégorie « Long métrage de fiction » tandis qu'Antoine de Laura Bari (Eyesteel Film) et Martha qui vient du froid de Marquise Lepage (Les Productions Virage) seront présentés dans la catégorie « Long métrage documentaire / Prix Anna Politkovskaïa ». Passages de Marie-Josée Saint-Pierre (MJSTP Films), un film d'animation, concourra dans la catégorie « Court-métrage ».

    La 31e édition du FIFF souhaite célébrer les deux continents qui ont vu naître les premières réalisatrices : l’Europe et l’Amérique du Nord, notamment les Etats-Unis. La programmation établit donc un parallèle entre les « Etats-Unis » d’Europe et les Etats-Unis d’Amérique et tente d’encourager les nouvelles générations de réalisatrices dans leurs choix et les échanges entre les deux continents et ainsi faire fi des « frontières invisibles » entre les cultures.

    FIFF

    Maison des arts de Créteil
    Place Salvator Allende
    Créteil (94)

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    19 février 2009 <o:p></o:p>

    Le projet de partenariat transatlantique à l’agenda de la mission européenne de Jean Charest <o:p></o:p>

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    Le premier ministre Jean Charest (à gauche) et le président tchèque, Vaclav Klaus, à Davos.
    Photo : gouvernement du Québec
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    Le premier ministre du Québec, Jean Charest, a amorcé à Davos, à la fin janvier, une mission européenne au cours de laquelle il a multiplié les occasions de promouvoir le projet de partenariat économique entre le Canada et l’Union européenne (UE). M. Charest a insisté auprès de ses interlocuteurs sur les bénéfices à tirer d’un tel accord dans le contexte économique actuel et sur la nécessité de résister aux tentations protectionnistes.

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    Au Forum économique mondial, M. Charest a obtenu l’appui du nouveau président de l’UE, le président tchèque Vaclav Klaus, afin de faire avancer le projet de partenariat transatlantique. La République tchèque, qui a pris le relais de la France à la tête de l’organisation en début d’année, assume ce mandat jusqu’au 1er juillet. La présence à Davos du premier ministre Charest, qui était accompagné du ministre du Développement économique, de l’Innovation et de l’Exportation, Raymond Bachand, visait en outre à échanger sur les moyens de faire face au ralentissement mondial ainsi qu’à promouvoir l’investissement au Québec auprès de décideurs économiques.

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    Le projet de partenariat transatlantique a également occupé une place importante dans les activités de M. Charest à Bruxelles. Le premier ministre y a notamment rencontré le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, qui a renouvelé son intérêt pour le projet, ainsi que la commissaire européenne au Commerce, Catherine Ashton. Le sujet a de plus été abordé au cours d’entretiens avec le premier ministre de Belgique, Herman Van Rompuy, et le ministre-président de Flandre, Kris Peeters. Enfin, M. Charest a pu faire le point sur ce dossier lors d’un déjeuner-conférence organisé par la Délégation générale du Québec à Bruxelles et la Chambre de commerce Canada-Belgique-Luxembourg.

     

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    Promotion d'une entente de partenariat économique entre le Canada et l'Union européenne

     

    Le 17 octobre 2008, le Sommet Canada-UE réunissait le premier ministre du Canada, M. Stephen Harper, le président du Conseil européen, M. Nicolas Sarkozy, et le président de la Commission européenne, M. José Manuel Barroso.   <o:p></o:p>

    Ce sommet était l'occasion de donner une impulsion politique forte pour définir rapidement le cadre d'un nouveau partenariat renforçant l'intégration économique entre l'Union européenne et le Canada.

    Cette rencontre est une étape très importante dans la mise en œuvre de cette entente. C’est pourquoi le gouvernement du Québec accentuera ses efforts de promotion du projet au Canada et en Europe afin de mieux faire connaître les bénéfices mutuels d’une telle entente. <o:p></o:p>

    L’objectif est d’ajouter un plus grand nombre d’appuis, tant au niveau des entreprises que des gouvernements, à ceux déjà exprimés, notamment par les gouvernements de la France et de l’Allemagne et par plusieurs associations d’entreprises au Québec, au Canada et en Europe. <o:p></o:p>

    Le Québec poursuivra les initiatives qui font de lui, depuis plusieurs années déjà, un leader au Canada en matière de libéralisation des échanges.

     

    Objectif <o:p></o:p>

    Accroître les échanges avec l’Union européenne pour mieux stimuler la croissance économique, la création d’emplois et l’innovation dans le cadre d’une économie mondialisée.

     

    Contexte<o:p></o:p>

    L’Union européenne (UE) est le deuxième marché en importance pour le Québec, après les États-Unis. <o:p></o:p>

    En 2006, la part du Québec dans les échanges entre le Canada et l’UE était de 36 %.

     

    Historique<o:p></o:p>

    En janvier 2007, le gouvernement du Québec a annoncé son intérêt de voir un rapprochement économique entre le Canada et l’UE. <o:p></o:p>

    Depuis, le gouvernement fait la promotion d’un accord de partenariat économique auprès : <o:p></o:p>

    • de représentants de l’UE et des États membres <o:p></o:p>
    • des gouvernements canadien et provinciaux, <o:p></o:p>
    • de regroupements patronaux québécois, canadiens et européens. <o:p></o:p>

    En juin 2007, une étape importante a été franchie lors du Sommet Canada-UE. En effet, une vaste étude a été lancée afin d’évaluer conjointement les coûts et les avantages d’un partenariat économique plus étroit.

     

    Le projet<o:p></o:p>

    La mise en place d’un accord global favoriserait le commerce des biens et services, ainsi que la circulation des capitaux et des travailleurs qualifiés. <o:p></o:p>

    Cet accord devrait accélérer la reconnaissance mutuelle des compétences professionnelles et des réglementations. <o:p></o:p>

    Il devrait également porter sur les tarifs douaniers, les barrières non tarifaires et l’accès aux marchés publics. <o:p></o:p>

    Un tel accord conférerait une place prépondérante au respect des normes du travail et favoriserait le développement durable. <o:p></o:p>

    Il devrait approfondir les engagements en matière de libéralisation des services, de protection de la propriété intellectuelle et d’ouverture à l’égard de la propriété étrangère. <o:p></o:p>

    Il devrait aussi mettre en place un espace réglementaire favorisant la libre concurrence.

     

    Pourquoi?<o:p></o:p>

    Cette entente permettrait de lever les obstacles au commerce qui restreignent l’accès aux marchés.   <o:p></o:p>

    Elle entraînerait une compétitivité accrue pour les entreprises, plus de partenariats pour les universités et davantage de coopération scientifique. <o:p></o:p>

    Elle procurerait aux entreprises canadiennes un meilleur accès à un marché de près de 500 millions de personnes et à un bassin important de travailleurs qualifiés.

     

    Les appuis à ce projet

     

    Appui des milieux d'affaires <o:p></o:p>

    Les milieux d’affaires québécois et canadiens ont très favorablement accueilli cette initiative. Les associations suivantes se sont prononcées en faveur du projet :<o:p></o:p>

    • Forum sur le commerce Canada-Europe (FORCCE) <o:p></o:p>
    • Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) <o:p></o:p>
    • Conseil du patronat du Québec (CPQ) <o:p></o:p>
    • Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) <o:p></o:p>
    • Conseil canadien des chefs d’entreprise (CCCE) <o:p></o:p>
    • Chambre de commerce du Canada (CCC) <o:p></o:p>
    • Manufacturiers et exportateurs canadiens (MEC) <o:p></o:p>

    Le Forum sur le commerce Canada-Europe (FORCCE) a recueilli plus d’une centaine de signatures d’appui de dirigeants de grandes entreprises canadiennes et européennes au projet de partenariat économique entre le Canada et l’UE.

     

    Appui des provinces et territoires <o:p></o:p>

    Le 2 juin 2008, le Québec et l’Ontario ont signé une déclaration commune en faveur d’un partenariat économique plus étroit entre la Canada et l’Union européenne. Puis, lors de la dernière rencontre du Conseil de la fédération tenue à Québec le 18 juillet 2008, les premiers ministres des provinces et territoires du Canada ont démontré leur adhésion au projet de partenariat Canada-Union européenne et ont réitéré l'importance qu'ils y accordent<o:p></o:p>

    © Gouvernement du Québec, 2009

     

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    9 février 2009 <o:p></o:p>

    En mission à Paris : le ministre Arcand mise sur l’économie et la Francophonie <o:p></o:p>

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    Les ministres Arcand et Kouchner, à Paris.

    Photo : MAEE<o:p></o:p>

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    Le ministre des Relations internationales et ministre responsable de la Francophonie, Pierre Arcand, se dit très satisfait des entretiens auxquels il a pris part à Paris, en première partie de sa mission européenne. <o:p></o:p>

    Le 2 février, M. Arcand s'est entretenu avec le secrétaire d'État à la Coopération et à la Francophonie de la République française, Alain Joyandet, avec lequel il a notamment échangé sur l'entente historique sur la reconnaissance mutuelle des qualifications professionnelles que le Québec et la France ont signée en octobre dernier. MM. Arcand et Joyandet coprésideront d'ailleurs les travaux du Comité bilatéral de suivi de l'Entente qui auront lieu le 9 mars prochain à Paris. « Nos deux gouvernements prennent toutes les dispositions nécessaires pour hâter la mise en oeuvre de cette entente. D'ailleurs, nous avons bon espoir de procéder à une nouvelle vague de signature d'Arrangements de reconnaissance mutuelle (ARM) dès ce printemps », a déclaré le ministre.<o:p></o:p>

    Avec des ambassadeurs et chefs de mission auprès de l'UNESCO, le ministre a également tenu une séance de travail portant sur les défis de l'Organisation, en compagnie du représentant du gouvernement du Québec au sein de la Délégation permanente du Canada à l'UNESCO, Michel Audet.<o:p></o:p>

    Avant d'assister à la remise des insignes de Commandeur de la Légion d'honneur au premier ministre Charest, le ministre Arcand a rencontré le ministre des Affaires étrangères et européennes de la République française, Bernard Kouchner, qui a réitéré l'appui de la France en vue de la négociation d'un partenariat économique entre le Canada et l'Union européenne.<o:p></o:p>

    La journée du 3 février a été consacrée à la Francophonie avec des entretiens successifs avec le secrétaire général de la Francophonie, Abdou Diouf, et l'administrateur de l'Organisation internationale de la Francophonie, Clément Duhaime. Le ministre leur a rappelé toute l'importance que le gouvernement du Québec accorde à la Francophonie et à la mise en oeuvre de la Déclaration de Québec adoptée lors du Sommet d'octobre dernier. Le ministre et le secrétaire général ont discuté de la situation de la langue française au sein de l'espace francophone et sur la scène internationale. Tous deux ont souligné la nécessité de mettre en œuvre les décisions prises en matière de promotion de la langue française lors du Sommet de Québec.<o:p></o:p>

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    Relations France-Québec <o:p></o:p>

    Délégation générale du Québec à Paris <o:p></o:p>

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    Paris à l'honneur au Festival Montréal en lumière<o:p></o:p>

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    À l’occasion du Festival Montréal en lumière, du 19 février au 1er mars, Montréal se métamorphose en un théâtre urbain d’animations, de concerts, d’ateliers, de dégustations et d’expositions, en plus d’accueillir une foule d’activités extérieures et intérieures gratuites, pour petits et grands festivaliers. Pour son 10e anniversaire, le Festival a invité Paris à partager avec les Montréalais et les nombreux touristes, ses plaisirs de la table, ses arts visuels et ses arts de la scène. <o:p></o:p>

    Unique au monde par son concept de jumelage de chefs montréalais avec les plus grandes toques des cinq continents, les Plaisirs de la table, volet gastronomique et vinicole du Festival Montréal en lumières, est placé cette année sous la présidence du chef français Alain Passard (L’Arpège) et accueille une trentaine des meilleurs chefs parisiens. <o:p></o:p>

    Une soirée intitulée « 10 étoiles pour le 10e » mettra en lumière le savoir-faire de chefs français cumulant 10 étoiles au Guide Michelin, lors d’un grand dîner. Une occasion unique de déguster les plats qui font la renommée des Alain Passard (L’Arpège), Philippe Etchebest (Hostellerie de Plaisance), Gérald Garcia (Hostellerie de la Pomarède), Gaël Orieux (Auguste), Michel Portos (Saint James) et Stéphane Raimbault (L’Oasis).<o:p></o:p>

    Ce festival permet donc de découvrir le Paris rêvé, celui des tables prestigieuses des grands chefs étoilés mais aussi le Paris de tous, le Paris accessible, celui des restaurants de quartier et des « bistronomiques », ces tables conviviales où la qualité est au rendez-vous. De bonnes tables montréalaises accueilleront des chefs montants comme Inaki Aizpitarte (Chateaubriand), Christophe Beaufrond (L’Avant-goût), François Pasteau (L’Épi Dupin) ou Thierry Laurent (Paul Bert).<o:p></o:p>

    En parallèle, le volet culturel du festival, présidé par Éric-Emmanuel Schmitt, offrira des prestations d’artistes de tous les horizons, qu’il s’agisse de musique populaire ou classique, de danse, de cirque, de comédie ou de chanson, avec un coup de projecteur sur la Ville lumière. <o:p></o:p>

    Paris sera notamment représentée par un spectacle hommage à sa célèbre môme, avec Piaf, une vie en rose et noir ; par l'humour décapant de Guy Bedos ainsi que par les arts du cirque à la TOHU avec les meilleurs participants du Festival mondial du cirque de demain de Paris.<o:p></o:p>

    Le président d’honneur, M. Schmitt, montera sur scène – avec entre autres le comédien Benoît McGinnis et l’Orchestre de chambre I Musici de Montréal – pour lire des extraits choisis de Ma vie avec Mozart, son autofiction vendue à plus de 300 000 exemplaires, qui raconte le coup de foudre d’un homme pour la musique du compositeur autrichien.<o:p></o:p>

    Soulignons également l’exposition Paris - Design en mutation qui regroupe, au Centre de design de l’UQAM, le travail de 11 designers ou collectifs précurseurs de la nouvelle génération du design parisien. Sans oublier le spectacle de clôture du festival Salut Paris ! qui verra des artistes du Québec et de Paris chanter la capitale française, que ce soit par le biais de chansons de leur répertoire respectif ou en puisant dans ces airs éternels issus de l’Hexagone.<o:p></o:p>

    Festival Montréal en lumière<o:p></o:p>

    Site d'information sur les études universitaires au Québec :<o:p></o:p>

    www.universitesquebecoises.ca<o:p></o:p>

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