• Les exemples 

    A suivre ou à éviter !

    Câlisse !
    • C'est la rentrée ! (Correct : c'est la énième fois que l'on reprend le travail)
    • Je rentre tout juste du travail (C'est habituel)
    • J'entre dans le magasin (Si c'est la première fois aujourd'hui)
    • Je rentre dans le magasin (Si on vient à peine d'en sortir)
    • Je vais lui rentrer dans le lard (Vraiment ? C'est habituel comme Moe avec Calvin ?)
    • On rentre ensemble ? (C'est peut-être la première fois, mais il y a une notion de retour, donc un sens puis l'autre contenu dans -re-)
    • C'est l'entrée du terrier (Où le renard va pouvoir rentrer)

    Les explications ►

    On entre une fois, on rentre plusieurs fois.

    CQFD
    AlC

  • Le Père Noël est une ordure

    Le 25 Août 1982 :

    Naissance d’un mythe

    >> L'équipe du Splendid adapte pour le cinéma la pièce 'Le père Noël est une ordure', sortie en 1979. Malgré le succès de la pièce, le film de Jean-Marie Poiré ne rencontre qu'un succès mitigé : 437.000 spectateurs seulement se déplacent pour assister aux aventures tragiques de l'association SOS Détresse Amitié. Il faut dire que la RATP comme la ville de Paris ont refusé de louer leurs emplacements publicitaires car le titre était jugé “politiquement incorrect”. Ce n'est que lors du passage à la télévision que ce qui devait s'appeler au départ 'Le père Noël s'est tiré une balle dans le cul' devient réellement... culte. (Evene)

    Le père Noël est une ordure


  • Le Canada en train : des chutes du Niagara à la côte Pacifique

    >> LE MONDE PAR TOUS LES MOYENS (7/7) - Le Canadien est un train de légende. L'un des derniers transcontinentaux en service dans le monde. Il relie Toronto à Vancouver en quatre nuits et trois jours, traverse plusieurs fuseaux horaires et des paysages à couper le souffle. Un moyen unique de découvrir le Canada. [...]

    Cliquez dans le titre pour lire l'article du Figaro

    Niagara

  • Château Frontenac, QuébecLe Québec, champion canadien du bilinguisme sous toutes ses formes

    >> À l’instar de votre chroniqueur Jean-Benoît Nadeau (« La langue des affaires », Le Devoir, 10 août 2015), je me suis toujours opposé à l’équation simpliste voulant que l’anglais soit LA langue des échanges commerciaux avec l’extérieur. On croit devoir absolument faire des affaires en anglais pour vendre un produit ou des services, peu importe la langue du client. On va même jusqu’à laisser entendre que tous les employés d’une entreprise qui exporte doivent parler l’anglais. [...]

    Cliquez dans le titre pour lire l'article de Michel Paillé, démographe, dans Le Devoir


  • Sphinx-colibri

    ... on peut voir des papillons sphinx-colibris

    ... ou des colibris oiseaux !

    Colibri