• Le Québec, champion canadien du bilinguisme ?

    Château Frontenac, QuébecLe Québec, champion canadien du bilinguisme sous toutes ses formes

    >> À l’instar de votre chroniqueur Jean-Benoît Nadeau (« La langue des affaires », Le Devoir, 10 août 2015), je me suis toujours opposé à l’équation simpliste voulant que l’anglais soit LA langue des échanges commerciaux avec l’extérieur. On croit devoir absolument faire des affaires en anglais pour vendre un produit ou des services, peu importe la langue du client. On va même jusqu’à laisser entendre que tous les employés d’une entreprise qui exporte doivent parler l’anglais. [...]

    Cliquez dans le titre pour lire l'article de Michel Paillé, démographe, dans Le Devoir