... on pouvait voir le France 1, le bateau météo devenu le premier élément du musée maritime, sortir à peine au large pour rejoindre La Pallice dans le but de se faire faire un joli toilettage avant de revenir dans le bassin des chalutiers et de s'installer cette fois-ci au fond, près des nouvelles structures fixes à terre, ornées de casquettes multicolores.

... on regarde à gauche, on regarde à droite, et on se fie aux deux phares, le vert et le rouge.

Et  pour sortir ?

... on peut voir sa vase et ses dragueuses !

La forme sera-t-elle (provisoirement) dévasée pour la fin de la semaine, pour que l'Hermione puisse rentrer au bercail ?

Réponse : le vendredi 5 (si la vase s'est retirée dans la Charente, si le bateau-porte revient, si personne ne fait grève...)

... on se retrouve nez à nez avec celui d'un petit hérisson !

Personne n'est encore prêt à hiberner...

... on y trouve, jusqu'au 8 décembre, une exposition sur la forteresse de Louisbourg (Nouvelle Ecosse) et la preuve qu'il n'était décidemment pas facile de s'entendre entre Français, Anglais et autres, ne serait-ce qu'à cause des multiples étalons de distances !

... on monte jusqu'au château et... ses multiples collections de bouteilles !

... on trouve un beau vieux pont presque neuf du premier quart du XIXe siècle (ouvert le 4 novembre 1825) sur la Dordogne, qui a échappé, lui, aux destructions subies par ses prédécesseurs (causées soit par la rivière, soit par les hommes).

... on y retrouve l'Hermione qui attend la bonne marée pour regagner sa forme de radoub habituelle