• Sully

    26 janvier 1611 :

    Démission de Sully

    >> Maximilien de Béthune, duc de Sully, ancien Premier ministre du roi Henri IV, démissionne de sa charge de surintendant des Finances. Protestant, il se sent menacé par le comité de régence présidé par la reine mère Marie de Médicis. De plus, il est en total désaccord avec sa politique pro-espagnole. A 52 ans, Sully qui était à la tête des finances de la France depuis 1598, conserve son titre de gouverneur du Poitou et reçoit une indemnité de 300 000 livres. Concini lui succèdera dès l'annonce de sa démission. (L'Internaute)

    + article Wikipédia ici         


  • Abbé Thomas Maguire
    >> L’abbé Thomas Maguire publie en 1841 un manuel de français qui fait prendre conscience à notre élite nationale que son accent n’a plus la cote dans les beaux milieux, surtout ceux de la France.
    <time></time>

    Histoire de notre accent

    >> En 1841, les Québécois découvrent que leur prononciation est critiquée. Ils la changeront.

    >> En Nouvelle-France, nos ancêtres, qu’ils aient appartenu au peuple ou à l’élite, parlaient ainsi : « La couvarte de la barline éta trop légearte pour aller à Montrial. On a resté cheu nous. » Pourtant, tous les Français de passage soulignaient la qualité de notre langue. Ensuite, au XIXe siècle, alors que notre manière de parler est presque la même, les jugements sur celle-ci se font sévères. Nous parlerions comme des péquenauds. Que s’est-il passé pour que la même langue soit soumise à des évaluations aussi contrastées ? [...]

    <time>Cliquez dans le titre pour lire la chronique LIVRES de </time>Louis Cornellier

  • Quatorzième conférence de la saison 2014/2015 de l'UTL-MO :

    le 2 février 2015, à 15h00
    à l'Eldorado de Saint-Pierre d'Oléron
    UTL-MO

    Histoire des universités populaires et des universités du temps libre

    Dominique Breillat

    Conférencier : Dominique BREILLAT

    Professeur émérite de droit public,

    Doyen honoraire de la Faculté de droit et des sciences sociales, Université de Poitiers

    Les universités du temps libre se développent un peu partout sur le territoire national. Il y eut d’abord les universités populaires dans un mouvement qui date de la fin du 19ème siècle

    L’idée est de mettre en avant des valeurs comme « La culture ne vaut que si elle est partagée » (devise de l’Université du Temps Libre Marennes-Oléron) et de rendre culture et apprentissages accessibles à tous. Le but est d’apprendre, de comprendre le monde, de communiquer, d’échanger avec les autres.


  • Mannequins sympas

    ... on y rencontre des mannequins super enjoués !


  • Québec se met à dos les minorités francophones

    Je voudrais speak le French

    >> Le malaise demeure entier entre le gouvernement Couillard et les francophones du reste du pays, deux jours après que le Québec a demandé à la Cour suprême de limiter le plus strictement possible l'accès aux écoles de langue française dans les...

    <time>23 janvier</time> | Philippe Orfali

    >> [...] limiter le nombre d’élèves pouvant être admis dans les écoles de la minorité francophone, en excluant des écoles de langue française des enfants dont les parents n’ont pas eux-mêmes été éduqués dans la langue de Molière, ou encore de jeunes arrivants qui ne sont pas pour l’instant citoyens canadiens. [...]