• Xynthia : revue de presse du 8 mai 2010

     

     

     

     

    ai 2010 06h00 0 commentaire(s)

    A tout chœur a du cœur

     

      À tout chœur.  photo laurent cluchier

    À tout chœur. photo laurent cluchier

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    La chorale A tout Chœur donnera un concert en la basilique Notre-Dame de Bon-Encontre, dimanche 16 mai, à 15 heures

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    8 mai 2010 06h00 | Par Raphaël Burgos    

    Les papys chanteurs

    . Trois retraités ont enregistré hier une chanson sur la tempête Xynthia, au profit des sinistrés

      Lamina Nabo, animateur du studio, a aidé Joël Kauskot, Jacques 
Lamy et Michel Bonnin à enregistrer leur maquette.  Photo Xavier Léoty

    Lamina Nabo, animateur du studio, a aidé Joël Kauskot, Jacques Lamy et Michel Bonnin à enregistrer leur maquette. Photo Xavier Léoty

     

    Il y a un mois Joël Kauskot, 62 ans, a une idée qui ne le quitte plus. Il souhaite chanter le drame qui a frappé le littoral charentais-maritime en février, chanter un texte au profit des sinistrés. Ce cuisinier à la retraite, originaire de Belfort et passionné de chant, a passé plus de dix-huit ans aux États-Unis.

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    ai 2010 06h00 | Par frédéric zabalza 0 commentaire(s)

    Le beau geste des artistes

    Un concert, un film, un spectacle. Les recettes de ces trois événements seront reversées aux victimes de la tempête Xynthia.

      Bartabas a décidé d'abonner son cachet pour la projection de « 
Galop arrière » au profit des sinistrés.  photo xavier léoty/archives

    Bartabas a décidé d'abonner son cachet pour la projection de « Galop arrière » au profit des sinistrés. photo xavier léoty/archives

     

     

    Les images de la tempête du 28 février ont frappé les esprits d'une grande partie de la population française. Le monde du spectacle n'est pas resté insensible à la détresse des victimes des inondations.

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    Des Charentais veulent qu'on rase leurs maisons

    samedi 08 mai 2010
    • Lydia et Bernard Fournat, ostréiculteurs, ont tout perdu. Ils 
souhaitent que leur maison soit rasée.

      Lydia et Bernard Fournat, ostréiculteurs, ont tout perdu. Ils souhaitent que leur maison soit rasée.

    Avant Xynthia, il y a eu le précédent de 1999... Lassées de reconstruire, une soixantaine de familles de Port-des-Barques (Charente-Maritime) veulent quitter les zones inondables.

    Reportage

    « Attendez-vous des morts pour agir ? » Accrochée à un pignon, la grande banderole n'a pas résisté aux assauts du vent. Mais la colère est toujours là. À contre-courant des sinistrés bataillant contre la démolition de leur maison, des habitants de Port-des-Barques (Charente-Maritime) exigent qu'on rase les leurs.

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    Xynthia. La préfecture de Vendée lâche du lest

    8 mai 2010

     

  • Des opposants se sont mobilisés, hier, devant le conseil général 
de Vendée avec des banderoles, mais aussi avec des faux rappelant la 
chouannerie... Photo AFP
  • Les représentants des propriétaires opposés à la destruction de leurs maisons, situées dans les zones noires de Vendée, ont appelé, hier, à suspendre les manifestations, après les annonces de la préfecture sur des études au cas par cas. En effet, des missions de terrain avec des experts doivent étudier, une par une, les habitations classées en zones noires dont les propriétaires ne souhaitent pas se séparer, a annoncé, hier, le préfet de la Vendée Jean-Jacques Brot.

    Adaptation et souplesse

    «On peut envisager désormais de suspendre les manifestations que l'on avait envisagées», a ainsi déclaré Jean-Claude Pénicaud, membre du Collectif des propriétaires résistants des Amourettes (Copra), à La Faute-sur-Mer, à l'issue de deux heures de réunion avec le président du conseil général de la Vendée, Philippe de Villiers. «La fermeté n'empêche pas l'adaptation et la souplesse, il n'y aura pas d'enquête publique avant qu'il y ait une expertise complémentaire», a, de son côté, déclaré Philippe de Villiers. Lors de la réunion, a même été évoqué «le financement des travaux d'aménagement» pour adapter ces maisons aux prescriptions de sécurité prévues pour les zones inondables «pour les propriétaires qui souhaitent rester», a affirmé Jean-Claude Pénicaud. Depuis l'annonce des «zones noires» (ou zone de solidarité), le 8avril, des manifestations organisées dans les deux communes concernées, La Faute-sur-Mer et L'Aiguillon-sur-Mer, mais aussi à La Roche-sur-Yon, ont rassemblé à chaque fois plusieurs centaines de personnes.

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    « Donner des perspectives au littoral »

    • Jacques Auxiette : « Des pistes pour un urbanisme durable ». Photo
 NB.

      Jacques Auxiette : « Des pistes pour un urbanisme durable ». Photo NB.

     

    Au-delà des mesures d'urgence, les territoires touchés par Xynthia vont bénéficier d'un soutien à long terme.

    Trois jours après la tempête, la Région avait voté, à l'unanimité, un plan d'urgence de 20 M€. Près de 4 M€ seront mobilisés dans les prochains jours au profit de huit communes pour des travaux de voirie ou de restauration des ports. Dix-sept entreprises (restaurants, campings, artisans...) seront également soutenues et une campagne de promotion touristique est en cours (lire ci-contre). Enfin, la Région participera au programme national de réhabilitation des digues en Loire-Atlantique et en Vendée (10 M€). Mais sur les 20 M€ initiaux, 5 M€ restent encore mobilisables, notamment dans le secteur de l'économie. C'est ce qu'a rappelé hier à La Faute, L'Aiguillon et La Tranche, Jacques Auxiette, le président du conseil régional.

    Il a annoncé aussi la création d'un contrat exceptionnel de solidarité territoriale « pour redonner des perspectives à long terme au littoral ». « Nous allons travailler avec les élus locaux et les professionnels pour dégager des pistes en matière d'urbanisme durable, de tourisme respectueux de l'environnement, de soutien à l'agriculture et à l'économie maritime à travers les filières conchylicoles et la plaisance car les ports n'ont parfois guère connu d'aménagement depuis 50 ans ». Les études seront menées à partir de l'été. « Nous espérons dégager des orientations avant la fin de l'année. Nous débloquerons alors les fonds nécessaires aux réalisations : entre 3 à 5 M€ ».

    Jean-Philippe Lucas

    Economie

    Mer. Une aide de 30millions pour les ostréiculteurs

    8 mai 2010

    Le gouvernement va débloquer 30M€ en faveur des ostréiculteurs confrontés à une surmortalité des naissains. L'annonce a été faite hier à Saint-Brieuc lors de la première visite en France de la commissaire européenne à la pêche Maria Damanaki.

     

  • Photo D.M.
  • Le ministre de l'Agriculture et de la Pêche, Bruno Le Maire, a profité de sa venue dans les Côtes-d'Armor, hier, pour annoncer la nouvelle. L'État va débloquer 30M€ pour aider les ostréiculteurs confrontés à la surmortalité des naissains d'huîtres. Une aide qui intervient juste après celle de 20M€ en faveur des ostréiculteurs victimes de la tempête Xynthia. Le feu vert a été donné par la commissaire européenne à la pêche Maria Damanaki. Présente elle aussi à Saint-Brieuc et Saint-Quay-Portrieux hier, la responsable politique grecque a profité de sa première visite en France pour rencontrer les professionnels de la pêche. Une filière qu'elle a souhaité rassurer en vue de la prochaine réforme de la politique commune de la pêche.

    Décentraliser et régionaliser

    «Les ministres qui se retrouvent autour d'une table pour marchander, c'est fini. Je ne veux plus de ça. Ils ne peuvent pas prendre des décisions seuls. Ce n'est pas à eux de décider du maillage des filets en Bretagne ou en Sicile. Il faut décentraliser et régionaliser la politique de la pêche», a-t-elle affirmé.

    «Du pêcheur au consommateur»

    Un discours qui tranche avec celui plus libéral de son prédécesseur, le Maltais Joe Borg. Maria Damanaki, affiliée au parti socialiste grecque, est claire sur le sujet. «Je vais me battre contre ceux qui veulent libéraliser la pêche. Selon moi, le modèle idéal c'est du pêcheur au consommateur». Bruno Le Maire acquiesce. «Nous sommes d'accord avec ce refus de la libéralisation car, selon nous, la pêche n'est pas un monde économique comme les autres. Nous sommes convaincus qu'il faut gérer la ressource pour réguler le marché», a insisté le ministre de la Pêche.

    Contrôle desimportations

    Reste que les professionnels font face aujourd'hui à une concurrence de plus en plus forte. Dans une Europe qui compte 70.000 pêcheurs, mais qui importe 65% de son poisson, la filière attend des mesures lui permettant de lutter équitablement. «Les problèmes sociaux me tiennent à coeur. Nous allons contrôler les importations pour vous aider. Concernant la pêche en eaux profondes, je peux vous dire que, quel que soit le pays, les règles de contrôle seront les mêmes pour tous. Même si c'est l'Espagne, les Pays-Bas...», a promis Maria Damanaki.

     

     

     

     


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