• Xynthia : revue de presse du 26 mai 2010

     

     

     

     

    Un recours contre le zonage de Xynthia en délibéré

    Le premier recours de Charente-Maritime qui demandait la suspension du zonage était étudié ce matin au tribunal administratif

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    Le tribunal administratif de Poitiers a étudié ce matin le recours déposé par l'Association des sinistrés de la tempête Xynthia de la commune d'Aytré qui demandait la suspension du zonage. 

    Le débat a notamment porté sur le fait de déterminer si ces zones (noires, orange ou jaunes) pouvaient être considérés comme des actes administratifs ou comme des documents préparatoires à ces actes. Dans le premier cas, l'avocat de l'association Bernard Macera évoqua un éventuel "soupçon d'illégalité" qui pourrait  entraîner une décision de suspension. 

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    Le tribunal a mis son jugement en délibéré. Il devrait se prononcer en début de semaine prochaine.

    Trois mois après Xynthia, les premiers départs de propriétaires se profilent

    Trois mois après le passage de la tempête Xynthia, les premiers propriétaires ont accepté de quitter les zones sinistrées, tandis que les communes essaient d'effacer leurs cicatrices avant l'arrivée des touristes

    PHOTO ARCHIVES SO

    PHOTO ARCHIVES SO

    "Nous avons fait disparaître la quasi-totalité des traces de la tempête: la promenade de Port-neuf est en état, le port, plus rien n'y paraît. La ville est prête à recevoir tous ses visiteurs", a expliqué Maxime Bono, député-maire (PS) de La Rochelle.

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    Après-Xynthia : le bilan des aides aux sinistrés

    Trois mois après la catastrophe naturelle, la préfecture de Charente-Maritime a présenté hier à la presse les structures de soutiens aux victimes.

      Le préfet a rappelé la disponibilité des délégués à la 
solidarité pour recueillir les remarques et doléances..  photo archives 
xavier léoty

    Le préfet a rappelé la disponibilité des délégués à la solidarité pour recueillir les remarques et doléances.. photo archives xavier léoty

    «Les expertises complémentaires concernant le zonage des Boucholeurs et de la pointe de la Fumée sont toujours en attente », explique le préfet Henri Masse. Des habitations en sursis, donc, qui pourraient rejoindre les 619 biens déjà classés en zones de solidarité. En attendant, les services de l'État ont présenté, hier, les différentes structures et moyens d'action pour soutenir tous les types de victimes

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    Xynthia Solidarité, tel est le nom pris par le collectif

      200 habitants avaient marché sur l'île Madame le 16 mai.  PHOTO 
Kharinne Charov

    200 habitants avaient marché sur l'île Madame le 16 mai. PHOTO Kharinne Charov

    Créé en trois jours, mi-mai, ce collectif de Port-des-Barques a déjà mis sur pied une marche solidaire sur l'île Madame, qui s'est déroulée avec succès le dimanche 16 mai. D'emblée, cette structure, quasiment née spontanément « devant l'inertie des pouvoirs publics face à la gestion de l'après-tempête Xynthia », a rassemblé des sinistrés de Port-des-Barques bien sûr, mais surtout des non-sinistrés en majorité. Et c'est tout son intérêt !

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    La symphonie du cœur

      De g. à d., Bernard Taffari, Sylvie Daubercies et Benoît 
Gheysens.  PHOTO J.-P. N.

    De g. à d., Bernard Taffari, Sylvie Daubercies et Benoît Gheysens. PHOTO J.-P. N.

    Dès l'annonce des dégâts causés par la tempête Xynthia, qui a principalement touché les régions de Vendée, Charente et Bretagne, une véritable chaîne de solidarité s'est mise en place sur la commune, pour aider les familles sinistrées.

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    Concert solidaire

     

      Les chœurs et chorales de Tarnos se réuniront vendredi.  photo 
J.-Y. I.

    Les chœurs et chorales de Tarnos se réuniront vendredi. photo J.-Y. I.

    Les Tarnosiens ont du cœur. Avec l'impulsion d'Annie Capdupuy, du chœur Ermend Bonnal, et sous le patronage de la Fondation de France, les chorales et groupes musicaux de Tarnos se mobilisent pour les victimes de la tempête Xynthia en Vendée et Charente-Maritime. Ermend Bonnal, Chantadour, Kanta Barthes, Aéolia, l'orchestre adultes de l'école de musique de Tarnos et Hegaldi aéorobic-AST se produiront le vendredi 28 mai, à 21 heures, à l'église Notre-Dame-des-Forges à Tarnos. La commune et les parents d'élèves de l'école de musique apporteront un soutien logistique. Entrée libre (collecte au profit des sinistrés de Xynthia). Contact : 05 59 64 87 18.

    FRANCE SOIR

    Xynthia - Des millions d’euros toujours non distribués
    Marie Conquy 26/05/10 à 09h18
    Trois mois après le passage de la tempête Xynthia, la majeure partie des fonds récoltés pour venir en aide aux sinistrés n’a toujours pas été reversée.

    Une maison de Vendée classée en zone noire Une maison de Vendée classée en zone noire © SIPA « Nous avons lu dans la presse que la tempête Xynthia avait suscité un élan de solidarité très important chez les Français, mais nous n’en avons toujours pas vu la couleur. » Trois mois après le passage de Xynthia, Renaud Pinoit, l’un des cofondateurs de l’Association des victimes des inondations de La Faute-sur-Mer et de ses environs (Avif), s’impatiente. Car sur les 2,5 à 3 millions d’euros collectés par les différents organismes après la catastrophe, très peu ont été distribués.

    « Dans les jours qui ont suivi la tempête, nous avons reçu des biens matériels très importants, comme des réfrigérateurs ou des machines à laver, mais depuis plus rien », poursuit-il. « Il y a un gros manque d’informations. Nous ne savons pas où sont ces dons, car il y a trop d’acteurs : la mairie, la Fondation de France, les associations… Lorsque les sinistrés nous demandent comment s’y prendre, on ne sait pas quoi leur répondre, car personne ne nous informe », déplore Renaud Pinoit.

    Procédure simplifiée

    En Charente-Maritime, le problème est le même. « Le centre communal d’action sociale (CCAS) de la ville n’utilise pas les fonds collectés. On ne comprend pas pourquoi l’argent continue à dormir dans les caisses de la mairie », déplore Thierry Demaegdt, le président de l’association Reconstruire Charron.

    Consciente de ces difficultés de distribution, la préfecture de Vendée tente de faire avancer les choses. « Nous avons simplifié la procédure. Maintenant, les particuliers peuvent s’adresser directement à la mairie de leur commune pour bénéficier de ces aides, explique Franck Chaulet, sous-préfet de Vendée. Pour l’instant, seuls les artisans et les entreprises ont déposé des demandes et obtenu les fonds, il faut que cela change. »

     
     
     
     
     
     
    Trois mois après Xynthia, les premiers départs de propriétaires se profilent

    De Christian GAUVRY (AFP) – Il y a 8 heures

    NANTES — Trois mois après le passage de la tempête Xynthia sur la côte atlantique le 28 février, les premiers propriétaires ont accepté de quitter les zones sinistrées, tandis que les communes essaient d'effacer leurs cicatrices avant l'arrivée des touristes.

    "Nous avons fait disparaître la quasi-totalité des traces de la tempête: la promenade de Port-neuf est en état, le port, plus rien n'y paraît. La ville est prête à recevoir tous ses visiteurs", a expliqué à l'AFP Maxime Bono, député-maire (PS) de La Rochelle.

    A La Faute-sur-mer (Vendée), où 29 personnes ont trouvé la mort, plus rien aujourd'hui ne rappelle le drame si ce n'est le village fantôme qu'est devenu la zone de lotissements ravagée par les flots.

    Les traces de la catastrophe y sont parfois même malvenues comme cette banderole installée par l'association des victimes des intempéries (AVIF) sur un rond point avec le nom des victimes.

    "La mairie, arguant de quelques plaintes, a décidé de l'enlever moins de huit jours après la cérémonie, c'est scandaleux", s'insurge l'association. La reconstruction, elle, commence aussi à coûter cher aux communes.

    "La ville a engagé 6,7 millions d'euros de travaux pour reconstruire les digues, refaire les promenades" mais "le total des dommages non assurables représente 18 millions d'euros que nous allons étaler sur trois exercices", explique M. Bono.

    Si quatre millions d'euros de dégâts seront pris en charge par les assurances, "pour l'instant, on n'a rien reçu de l'Etat sinon des dossiers à remplir. Et on ne sait pas si on aura 5%, 20%, 50% des travaux, on ne sait rien du tout", note-t-il.

    Tandis que les communes s'activent, des propriétaires s'apprêtent à quitter leur maison dans les "zones de solidarité" jugées désormais trop dangereuses pour accueillir des habitations.

    Les premiers départs sont attendus en juin dans les deux départements, après la présentation des premières évaluations effectuées par les Domaines début mai.

    Sur les 915 maisons concernées en Vendée, 823 propriétaires ont demandé un rendez-vous pour évaluer leurs maisons. "Sur les 85 propositions d'acquisition présentées, 20 ont été acceptées mais les propriétaires ont trois mois pour se décider", rappelle Franck Chaulet, sous-préfet.

    En Charente-Maritime, sur les 619 propriétés concernées, 457 demandes d'évaluation ont été déposées, "77 propositions d'acquisition à l'amiable ont été envoyées, et 16 ont été acceptées", selon le préfet Henri Masse. Pour permettre les premières acquisitions à l'amiable, la préfecture de la Vendée a déjà reçu un acompte de l'Etat de 10 millions d'euros, et la Charente-Maritime 12 millions d'euros, ont indiqué les préfectures.

    Mais les sinistrés qui souhaitent retrouver rapidement un bien dans la même commune se heurtent à de nouvelles difficultés en raison du manque parfois de terrains constructibles.

    Ainsi, à Charon (Charente-Maritime), "200 sinistrés vont toucher leurs indemnités dans les jours qui viennent mais, pour l'instant, ils n'ont pas de logement. S'il n'y a rien de clair dans les jours qui viennent, ils vont aller investir ailleurs" qu'à Charron, assure Thierry Demaegdt, président de l'association des sinistrés "Reconstruire Charron".

    La Vendée est de son côté confrontée à une situation insolite: "il y a énormément de dons (environ 1,5 million d'euros pour la Vendée) qui ont été collectés, et malheureusement il y a très peu de demandes" d'aide, s'étonne Franck Chaulet

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    Xynthia : quarante victimes portent plainte

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    <btn_noimpr></btn_noimpr> Anne-Cécile Juillet | 26.05.2010, 07h00

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    A La Faute-sur-Mer (Vendée), trois mois après le drame, les victimes de la tempête Xynthia ne désarment pas. Alors que certains semblent satisfaits de l’offre de l’Etat de racheter leur maison située dans les zones noires, l’Association des victimes des inondations de La Faute-sur-Mer (Avif) souhaite, elle, que toutes les responsabilités soient établies dans ce drame. <btn_noimpr> </btn_noimpr>

     

    Quarante plaintes déposées demain. Le dossier est en passe d’être bouclé, au cabinet de Me Corinne Lepage. Demain, vendredi au plus tard, Me Benoît Denis, son collaborateur, déposera au parquet des Sables-d’Olonne (Vendée) une plainte au nom de l’Avif, représentant quarante et une personnes, victimes directes ou proches de personnes décédées pendant le passage de Xynthia. Cette plainte contre X, pour « homicides involontaires, mise en danger de la vie d’autrui, abstention de mesures prises pour combattre un sinistre et prises illégales d’intérêt », s’adjoindra à l’enquête préliminaire ouverte par le parquet des Sables-d’Olonne après le drame.

    Un nouveau référé auprès du tribunal administratif. Fin avril dernier, l’Avif avait obtenu auprès du tribunal administratif (TA) de Nantes que lui soient communiqués les documents concernant l’élaboration des zones noires dans un délai de quinze jours. A La Faute-sur-Mer, 674 maisons, dont 92 résidences principales, sont concernées.

    « Mais la préfecture a tardé à nous transmettre un document qui, de surcroît, ne correspond pas à ce que nous attendions », rage Renaud Pinoit, de l’Avif. En tout et pour tout, la préfecture de Vendée a communiqué aux sinistrés une note de synthèse de huit pages, rédigée après l’annonce du zonage. « Nous attendons toujours les rapports d’experts dont on nous avait dit qu’ils avaient inspiré les décisions », assène Xavier Machuron-Mandard, le président de l’Avif. Un nouveau référé a été déposé auprès du TA de Nantes.

    Toujours des tensions avec la municipalité. Tout est parti d’une banderole, sur laquelle les noms des vingt-neuf victimes de la tempête Xynthia ont été inscrits, « en leur hommage », explique-t-on à l’Avif. Mais voilà, moins d’une semaine après l’accrochage de cette banderole sur l’un des ronds-points de l’entrée du bourg, la mairie de La Faute l’a retirée.

    « Ils ne veulent pas faire fuir les touristes et il y avait soi-disant des plaintes de riverains, explique Renaud Pinoit. Mais, pour les victimes et leurs proches, c’est un nouvel affront… » L’association de sinistrés promet que, coûte que coûte, elle sera réinstallée.

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    LA DEPECHE

    Luchon. Rando : la montagne reste dangereuse

    sécurité

    La passerelle qui 
permettait de franchir le torrent de la Glère a disparu. Il est 
impossible de gagner l'Arboretum de Jouéou par le Chemin de 
l'Impératrice. Comme a pu le découvrir une famille samedi.
    La passerelle qui permettait de franchir le torrent de la Glère a 
disparu. Il est impossible de gagner l'Arboretum de Jouéou par le Chemin
 de l'Impératrice. Comme a pu le découvrir une famille samedi.

    Avec les beaux jours, les randonneurs sont de plus en plus nombreux à emprunter les chemins du Luchonnais. Mais les chutes de neige tardives et les dégâts causés par la tempête Xynthia rendent la montagne plus délicate. Les explications de l'adjudant-chef Michel Castillon, du PGHM de Luchon. -

    Comment est la montagne ?

    Les premières traces de neige sont visibles dès 1 700 mètres sur le versant nord et l'enneigement est continu dès 2 000 mètres. Des dépôts d'avalanches récentes coupent parfois les chemins de randonnées à basse altitude, pouvant gêner la progression des randonneurs. Il faut s'équiper en conditions hivernales : pour passer le Port du Vénasque, les crampons sont nécessaires si la nuit a été froide, ou les raquettes. Attention aux avalanches de fonte qui peuvent se produire en fin de journée. La neige est bien présente juste au-dessus du refuge d'Espingo et on relève 1m05 au refuge du Maupas, à 2450 m. d'altitude.

    Et les chemins ?

    Beaucoup d'arbre sont en travers suite à la tempête, notamment sur le Chemin de l'Impératrice. Samedi, nous avons été appelés pour un secours : un père de famille s'inquiétait de ne pas voir arriver son épouse et ses deux enfants, un bébé de deux ans et une fillette de 9 ans. Il avait rebroussé chemin pour récupérer sa voiture à l'Hospice de France, laissant le reste de la famille se diriger vers l'Arborétum de Jouéou. Malheureusement, la passerelle permettant d'enjamber le torrent de la Glère n'existe plus. L'épouse a eu le bon réflexe de rebrousser chemin. Cet itinéraire nécessite un aller-retour. Il est dangereux de traverser le torrent ou de chercher à passer par la forêt.

    Des conseils pour les randonneurs ?

    Ne pas hésiter à se renseigner sur les conditions météo qui sont souvent orageuses en fin d'après-midi et contacter les professionnels de la montagne. Il faut se méfier de cette période charnière entre la fin du printemps et le début de l'été, qui souvent réserve de mauvaises surprises. Un numéro unique pour le secours en montagne : 05.61.89.31.31

     

    La Maaf renforce sa rentabilité en 2009, hausse probable des tarifs en vue

    L'assureur mutualiste Maaf a publié mercredi un bénéfice net en forte hausse en 2009, grâce à des plus-values financières, tout en avertissant qu'il pourrait augmenter ses tarifs en automobile et habitation.

    Le bénéfice net a progressé de 36% à 165 millions d'euros.

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