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Nous souhaitons partager autour de l'Ancien et du Nouveau Monde, avec nos coups de cœur, au gré de nos rencontres et de l'actualité, dans le cadre - ouvert - de la francophonie.

Elections au Québec : un coup de langue pour faire la différence ?

Pauline Maurois Jean Charest

Au Québec, le prochain scrutin électoral sera à nouveau marqué par la confrontation entre francophones et anglophones. "Jean" Charest a sans doute le tort de se prénommer en réalité "John James". En revanche Pauline Marois se prénomme bien "Pauline", ce qui lui assurera beaucoup de votes de principe de la part des francophones !

Tempête dans une tasse de thé ou de café ?

En tout cas, des interrogations et une belle empoignade entre Jean Charest pour le Parti Libéral et Pauline Marois pour le Parti Québécois.

Trois articles à lire dans "Le Devoir":

"C’est un Jean Charest jouant son va-tout qui s’est présenté au premier face-à-face avec Pauline Marois, hier soir, lui imputant la responsabilité de la perte de prestige des politiciens québécois. Pas question de recevoir des leçons d’intégrité de M. Charest, a répondu Mme Marois."

L’argument de la «stabilité» fait mouche, confie un leader d’opinion anglophone

"Jean Charest soutient n’avoir « aucun doute » sur le fait que la communauté anglophone va l’appuyer en bloc le 4 septembre, même si des sondages ont indiqué un certain tassement du vote de cette clientèle habituellement acquise au Parti libéral du Québec. Des personnalités comme Robert Libman ont beau avoir appelé à donner une chance à la Coalition avenir Québec (CAQ), Jean Charest ne s’inquiète guère : « Je n’ai pas de doute, aucun doute. […] C’est une communauté qui ne veut pas voir un retour à des débats acrimonieux, que ce soit sur le référendum ou sur les solutions simplistes de M. Legault. Ils ne veulent sûrement pas voir le démantèlement de leurs commissions scolaires. Personne ne veut ça dans cette communauté », a-t-il déclaré hier à Gatineau."

Sans l’unité des souverainistes, la victoire échappera au PQ, craint Lisée

"Pauline Marois refuse d’envisager de diriger autre chose qu’un gouvernement majoritaire, mais son candidat dans Rosemont, Jean-François Lisée, évoque la possibilité d’une défaite du Parti québécois si les sympathisants de Québec solidaire et d’Option nationale ne se rallient pas au PQ."

 
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