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CHRISTINE AUTHIER PRESENTE
« LES CAILLOUX DU SAINT-
LAURENT »
BIOGRAPHIE
Sa carrière commence en 1978 avec un premier succès, « La noce d’Etienne », couronné par plusieurs grands prix (Charles Cros, FNAC).
Christine Authier intègre l’agence prestigieuse de Jean Dufour (qui s’occupe des carrières de Félix Leclerc, Yves Duteil, Julos Beaucarne, Pauline Julien).
Le nom et le répertoire de Christine Authier sont désormais synonymes de belle chanson française sur fond de picking folk. Native du Poitou, elle a le sens des mélodies et sculpte des histoires qui mettent en scène les joies et les difficultés de chacun. C’est une raconteuse, une femme qui chante. Son style : pudique et joyeuse, elle exprime une musique délicate et festive, qui va de la ballade à la tournerie endiablée…
Sa musique n’est pas traditionnelle ; elle naît dans l’air du temps. Elle n’est pas à la mode, elle est libre comme l’oiseau.
Des années après ses premiers pas de chanteuse, après mille voyages et ne centaine de chansons (sept albums au total) elle revient au pays, et commence son premier grand récit personnel, son épopée : ‘Les cailloux du Saint-Laurent ».
« LES CAILLOUX DU SAINT-LAURENT »
Christine Authier a renoué un amour indéfectible pour l’Amérique francophone, ne s’est pas lassée de ses allers-retours entre le Poitou de ses racines et la Nouvelle-France, sa cousine. Cela lui permet de faire la musique qu’elle aime, car elle vient du folk.
Elle a écrit « les cailloux du Saint-Laurent » comme un dialogue entre une femme (elle-même) et un homme (Christian Pacher lui prête sa voix), entre deux terres, unies à travers les époques, malgré les ruptures et le sentiment d’exil. Elle part en bateau là-bas en 1600 et revient en avion. Cette balade fantasmée de 400 ans et 6000 Km évoque la relation entre les peuples issus des Français et le peuple français. Dans l’inconscient des Québécois et des Acadiens, ils sont les descendants de ceux dont la France ne voulait pas. Avec les Français, ils sont comme des frères et des sœurs dont certains auraient été aimés par leurs parents et les autres délaissés. Donc dans ce spectacle, sont évoqués cousinage, amours, malentendus, rires et larmes à l’encre violette ou par courriel dans des chansons qui ont les accents du fantasme qui alimente les relations entre les peuples français et québécois, et la saveur des langages des deux côtés de l’Atlantique. C’est l’occasion de saluer les gens des deux pays, de les remercier, de chercher pourquoi on part, pourquoi on reste.
Hier comme aujourd’hui, un homme et une femme se parlent. Ils sont drôles, émouvants, captivants.
Du rock au folk, de la ballade au rap, avec une pointe d’humour et des épices salées sucrées, les chansons sont écrites et composées par Christine Authier.
EXTRAITS DE PRESSE
« Son compagnon de scène est Christian Pacher, prêt au grand voyage, qui nous fait franchir 400 ans et 6000 iikilomètres en une heure et demie. Au programme : les larmes aux yeux de rire et d’émotions, les pieds qui dansent tout seuls, les poussées de folie vocale et musicale, et ces moments de confidence où plus rien n’existe que cette femme et sa voix d’eau pure. C’est un spectacle total ! On y croise ses ancêtres, partis au Canada il y a 400 ans, mais aussi ceux qui sont restés à les attendre « ici ». On la trouve « ben mêlée » avec les différents langages et accents que Poitou et Québec lui offrent, et avec lesquels elle jongle comme une acrobate. On découvre son « homme-sœur » habitant de l’autre rive, perdu lui aussi dans des amours impossibles. On frise la scène de ménage…
On se connecte sur « c’est l’fun.com » pour se chercher, se frôler, se rater, se niaiser…. Lorsqu’arrivent Louis XIV, Colbert et les Filles du Roi, l’Histoire se tord de rire et nous aussi.
Mais s’ensuit le merci aux Canadiens français morts pour la France de 1942 à 1944, et tous les cœurs restent suspendus.
Christine Authier peut tout peut tout exprimer. Même la douleur impassible de l’Indien Abénakis qui n’a pas sa place dans le récit, qui n’a pas sa place dans le monde.
Accompagnée par quatre formidables musiciens (guitare, violon, violoncelle, basse), avec un Christian Pacher qui lui tient la dragée haute….Christine Authier nos donne à vivre son histoire. Une poitevine fascinée et fâchée par les Amériques.
« Y a du chagrin des deux côtés » dit-elle. Une chanteuse aux douceurs redoutables et aux paroles intra-veineuses. Un reste d’enfance la rend joueuse, et son art de la scène fait le reste : un spectacle inoubliable et magnifique ».
(Nouchka Bell, Vancouver)
« Christine Authier, chanteuse atypique à la voix de soie qu brode des motifs d’amour avec cruauté et connivence, à la plume légère qui organise à sa guise des rencontres et des ruptures, chante les pionnières, ces femme qui ont bousculé les conventions et réalisé leurs rêves. »
(Centre Presse)
« Le public passe par les états d’âme les plus extrêmes…. Embarqué dans une aventure sans pareille. Les aspérités du malheur sont gommées à la chaleur des voix et des chants. Reste le bonheur, nourri par les épreuves de l’incessante question : partir ou revenir ? « Les Cailloux du Saint-Laurent » symbolisent toutes les distances, les séparations, les amours lointaines ».
(Courrier de l’Ouest)
« Difficile de ne pas sourire et rêver à l’écoute des paroles tantôt douces, tantôt crues, des paroles pleines de simplicité et d’humour. Après une telle cure de bonne humeur, il n’est pas étonnant d’assister à l’ovation des cinq artistes ».
(Nouvelle République)
Contacts : bonjourlesgens@hotmail.com / Mariek 06 62 83 04 26
www.myspace.com/christineauthier
Ce texte nous a été transmis par Christian Renaud. La musique de Christine Authier est présente dans le film qu'il a fait sur la Grande Traversée de l'Atlantique et le Retour aux Sources.