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    Eau et dos d’âne à Saint-Sulpice

    Le maire de Saint-Sulpice, Jean Gendron Photo: archives

    Le maire de Saint-Sulpice, Jean Gendron Photo: archives

    Publié le Juillet 14 2010
    Faits saillants du conseil de ville
    Sujets :
    Enviro Services , Conseil à Enviro , Maison des jeunes , St-Sulpice , Saint-Sulpice , Allard

    Les élus de St-Sulpice vont de l’avant avec leur idée d’implanter des dos d’âne sur le territoire de la municipalité. Quatre dos d’ânes, de forme allongée, seront bientôt installés. Les rues Landreville, Payette, Robitaille et Giguère sont visées par cette mesure. «On veut ainsi sécuriser les rues et nos enfants», a affirmée le maire, Jean Gendron, lors de l’assemblée publique le 5 juillet.

    Parlant de sécurité, un abribus sera aussi aménagé d’ici quelques semaines au coin du dépanneur Allard, selon une entente avec la MRC L’Assomption. Le coût du projet, évalué à 7500 $, est subventionné par les gouvernements à 75 %.

    La police a aussi vérifié la signalisation en vigueur à St-Sulpice et tentera, avec le conseil, d’apporter les améliorations qui s’imposent, comme enlever un arrêt inutile, en placer à d’autres endroits ou remplacer un panneau désuet. La population peut faire part de ses observations à l’hôtel de ville. Le maire Gendron a dévoilé que le lettrage des noms de rues sera grossi lors d’un changement progressif de ces panneaux.

    Jeux d’eau et bassin

    Il est revenu sur le sujet de l’eau qui sera utilisée pour les jeux d’eau. On se rappellera que l’eau semblait être trop salée pour cette utilisation. «On a trouvé de l’eau très peu salé à 60 pieds qui pourrait servir de réservoir pour 1500 gallons. Mais les abreuvoirs et toilettes fonctionneraient avec l’eau de l’aqueduc.»

    Quant au bassin d’eau qu’une firme d’ingénieurs recommandait d’ajouter, au coût de 1,5 millions $, pour desservir la population actuelle et à venir de la municipalité, le maire Gendron a décidé de commander une autre étude à celle réalisé en 2009. «La firme Enviro Services estime que le bassin actuel possède la capacité nécessaire pour le développement de la ville pour encore dix ans, alors on va faire des tests pour obtenir des réponses claires.»

    L’injection de colorants dans l’eau et la prise d’échantillons sont au nombre des démarches comprises dans le contrat de 11 700 $ (plus taxes) accordé par le conseil à Enviro Services.

    Questions limitées et maire suppléant

    Le maire Gendron a instauré, à l’unanimité du conseil, une nouvelle règle régissant la période de questions. «On accordera deux questions par citoyen, afin de donner une chance égale à tous de parler, car des gens se sont plaints que ce sont souvent les mêmes qui posent des questions. Une troisième question sera allouée si tout le monde qui le voulait s’est exprimé, à la condition qu’elle se rapporte aux sujets à l’ordre du jour.»

    Les citoyens qui ont des cas particuliers à discuter sont invités de se présenter à l’hôtel de ville ou aux soirées d’informations mensuelles qui reprendront en septembre.

    Par ailleurs, le conseil a nommé le conseiller André Jalbert comme maire suppléant de juillet à août.

    Maison des jeunes et loisirs

    En faisant le tour des dossiers lors du conseil, on a appris que Raymonde Chaussé et André Marceau ont quitté le conseil d’administration de la Maison des jeunes. Le conseiller Robert Charlebois assure maintenant la présidence de l’organisme. Il a parlé de la bonne récolte, après la fête de la St-Jean, de la collecte des bouteilles au profit des jeunes, ainsi que le bazar tenu le 4 juillet. «Parmi les autres activités de financement figurent un lave-o-thon et le spectacle du 9 octobre au Centre des loisirs. Les profits serviront aux sorties des enfants de la maison des jeunes», précise le conseiller.

    Concernant les loisirs, les conseillères Mélanie Therrien et Martine Desrosiers ont fait le bilan de la fête familiale et de la St-Jean. «Le rallye à vélo a permis de faire tirer cinq bicyclettes parmi les participants et le monde a proposé de bonnes suggestions pour l’an prochain», a rapporté Mme Therrien.

    Le club de pétanque a débuté ses activités mardi et des buts sont enfin arrivés au terrain de soccer, au grand plaisir des jeunes qui se sont amusés dimanche lors de parties amicales.


  • Lavande de l'île 1

    Lavande de l'île 1

     

     

     

    «Le sol de l'Île Bouchard située dans les limites de la municipalité de Saint-Sulpice est favorable à la culture de la lavande: léger et perméable, il permet d'évacuer l'eau rapidement lors du dégel printanier», indique Michel Senécal. À gauche, le maire de Saint-Sulpice, Jean Gendron, discute avec l'un des propriétaires, Pierre Nantais.


    Photos: Pierre Laurent

     

    Des champs de lavande sur l'Île Bouchard

    Louise Bourget
    Louise Bourget

    Le projet de retraite de Pierre Nantais et Yvon Harnois voit enfin le jour

    Sujets :
    Lavande , Ministère de l'Agriculture , Pêcheries , Île Bouchard , Québec

    «Nous avons eu l'idée d'entreprendre la culture de la lavande dans le but d'en faire éventuellement la commercialisation, il y a quatre ans», déclare l'un des propriétaires de l'entreprise Lavande de l'Île située à l'Île Bouchard, Pierre Nantais.

    Lors de notre visite du lieu de plantation, les plants étaient en pleine croissance et parfaitement alignés, ce qui nous a permis de déambuler facilement dans les allées bien droites pour en apprécier davantage la culture. Selon les propos de M. Nantais, avant d'en arriver à l'étape de l'expansion et de la commercialisation des produits issus de la lavande, ils ont dû faire leurs devoirs, car la culture de cette plante vivace très odorante est récente au Québec. «Notre entreprise a pris naissance en 2008. Après avoir étudié et évalué pendant deux ans les étapes de la résistance de cette plante à nos hivers québécois afin de commercialiser les produits de la Lavande, nous sommes maintenant prêts à aller de l’avant avec notre projet de retraite», souligne avec entrain M. Nantais.

    Mission accomplie

    «Dans ce type de culture, la protection hivernale prime. La neige est un bon isolant, mais lorsque les précipitations ne sont pas assez abondantes, il faut trouver des solutions pour préserver les plants du gel», explique Michel Senécal, responsable des cultures en serres et ornementales extérieures à la direction régionale de Montréal-Laval-Lanaudière du ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec (MAPAQ).

    «Après la perte de certaines récoltes, nous savons maintenant que nous devons recouvrir les plants de lavande de paille à l'automne», indique M. Nantais.

    L'entreprise située sur l'Île Bouchard est maintenant en mesure, à partir de la distillation des plants de lavande, d'offrir à sa clientèle des huiles essentielles et des sous-produits de la lavande. «Notre but est de présenter notre lieu de plantation comme un endroit agrotouristique, afin de permettre à la clientèle de visiter, à leur rythme, les champs de lavande pour y découvrir et apprécier les bienfaits de cette plante dans une ambiance champêtre comme celle qu'on retrouve dans l'île», souligne Pierre Nantais.

    Lors d'une visite, on peut découvrir les différentes étapes de la culture de cette plante vivace au Québec: semis, plantation, cueillette et distillation. «Tout se fait mécaniquement; même l'arrachage des mauvaises herbes», conclut M. Nantais

    On peut visiter le lieu de plantation lors d'une croisière commentée (23 $ taxes incluses comprenant le transport en bateau de Saint-Sulpice). Durée de l'excursion: 2h30. Informations et réservations: 450 589-9198, poste 126 ou 1 877 589-9198.

     

      


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    On tourne Malenfant à la Marina Brousseau

    La série québécoise fait escale à Saint-Sulpice

    Louise Bourget

    par Louise Bourget
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    Article mis en ligne le 22 juin 2010 à 15:35 Publié le 23 Juin 2010
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    Le bateau Sea Providence de la Marina Brousseau a été choisi pour le tournage de la minisérie dramatique Malenfant. Photo: Pierre Laurent
     
    La dernière journée de tournage de la série québécoise historique de Séries+, Malenfant, s'est déroulée à la Marina Brousseau de Saint-Sulpice le 14 juin.
     
    Feu l'homme d'affaires, Raymond Malenfant, qui est parti de rien et était animé par le désir de bâtir, a mis sur pied un impressionnant empire avant que tout s'écroule comme un château de cartes.

    «Dans les années 1980, ce dernier a fait l'acquisition d'un gros bateau. Pour nous, c'était l'occasion de montrer une étape importante de l'homme riche avant les ennuis qui allaient survenir», déclare la productrice au contenu et déléguée chez Avanti Ciné Vidéo, Sylvie Roy.

    Dans cette série qui sera diffusée exclusivement sur les ondes de Séries+ au printemps 2011, Luc Picard a été choisi pour jouer le rôle de Raymond Malenfant, Julie McClemens interprètera Colette, la femme de l'ex-homme d'affaires, alors que François Chénier incarnera leur fils. Les quatre épisodes de 60 minutes sont coproduits par Avanti Ciné Vidéo et ORBI-XXI.

    Rappelons que Raymond Malenfant a été au cœur d'une sérieuse controverse au milieu des années 1980. Après avoir racheté le Manoir Richelieu à La Malbaie, il refuse de reconnaître le syndicat des employés affilié à la CSN.
     
    Saint-Sulpice, lieu accessible
     
    Pour le tournage des scènes sur le bateau de Raymond Malenfant, les coproducteurs recherchaient un site offrant une magnifique vue sur des îles. «On cherchait un endroit qui ressemblait aux rives de Québec avec l'Île d'Orléans en point de mire. Bien sûr, le lieu du tournage devait être situé à proximité de Montréal pour les besoins de la production. En plus d'être facilement accessible en voiture, on a une très belle vue sur des îles de la Marina Brousseau», indique Mme Roy.

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    La Route bleue devenue réalité

    Nathalie Villeneuve par Nathalie Villeneuve
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    Article mis en ligne le 19 juin 2010 à 5:51
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    La Route bleue devenue réalité
    Éco-Nature offre désormais des forfaits incluant l’équipement, un guide, un lunch et le transport, dans un des huit tronçons de la Route bleue des voyageurs. (Photo: gracieuseté)
     
    Éco-Nature, a inauguré, le 14 juin, la Route bleue des voyageurs, un parcours navigable de 155 kilomètres entre Carillon et Saint-Sulpice.
    Pagayer sur la rivière des Outaouais, du barrage de Carillon au lac des Deux Montagnes, bifurquer sur la rivière des Praries ou sur la rivière des Mille Îles, pour finir à l’embouchure du fleuve Saint-Laurent, à Saint-Sulpice.

    Un parcours navigable de 155 kilomètres destiné aux embarcations dépourvues de moteur est dorénavant balisé et ponctué d’arrêts d’urgence, d’aires de repos, de services d’hébergement et de restauration.
     
    Sentier maritime
     
    La nouvelle Route bleue se décline en huit tronçons guidés. Elle vient enrichir le Sentier maritime du Saint-Laurent, qui s’étendra, à terme, à tout le fleuve. Ce Sentier cartographié est le pendant aquatique de la Route verte, qui offre plus de 4000 km de voies cyclables à travers la province.
    La Route bleue des voyageurs est la cinquième initiative à voir le jour dans le cadre du Sentier maritime, qui en comprendra dix, en 2012, indique Pierre Trudel, directeur général de la Fédération québécoise du canot et du kayak.

    Éco-Nature, l’organisme responsable de la gestion du Parc de la Rivière-des-Mille-Îles, offre ainsi une autre activité à son répertoire, sous la forme de circuits guidés d’une journée, dans un des huit tronçons cartographiés.

    Le forfait comprend l’embarcation, un guide, le lunch et la logistique de transport entre le point d’arrivée et le point de départ. À titre d’exemple, on peut réserver un rabaska de dix places pour 720 $, incluant les services et l’équipement.

    Chaque circuit porte un nom qui évoque la trame naturelle dans laquelle les plaisanciers sont invités à naviguer: «Le grand bleu» désigne le lac des Deux Montagnes, «Les mille et une îles» le Parc de la Rivière-des-Mille-Îles, «À la rencontre des trois eaux», le confluent des deux rivières et du fleuve…
     
    Multiples partenaires
     
    Un tel projet ne peut éclore en vase clos. Depuis deux ans, Éco-Nature prépare le terrain, en multipliant les partenariats.
    Géographie oblige, quatorze municipalités figurent à la liste des partenaires, ainsi que cinq municipalités régionales de comté, trois conférences régionales des élus, quatre offices de tourisme, deux ministères, de nombreux organismes et entreprises.

    «Beaucoup de personnes ont cru en nous», a noté Denise Filiatrault, présidente d’Éco-Nature, après avoir nommé tous les partenaires qui ont épaulé l’organisme dans la réalisation de ce projet.

    «La rivière a toujours été là. Il a fallu que tous les gens se mettent ensemble et trouvent un intérêt commun: utiliser ces lieux extraordinaires», a commenté le député de Vimont, Vincent Auclair, à l’occasion de l’inauguration de la Route bleue.

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    Une fête familiale pour Saint-Sulpice

    Kassandra Martel par Kassandra Martel
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    Article mis en ligne le 17 juin 2010 à 16:00

     
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    Une fête familiale pour Saint-Sulpice
     

    « Nous voulons développer le sentiment d’appartenance et de fierté des citoyens en leur offrant une fête qui leur ressemble », affirme Mélanie Therrien, conseillère municipale. Pour cette raison, la Fête nationale se tiendra aussi le 24 juin.
     
    Dès 10h, au parc Léo-Chaussé, il y aura le rallye pour les bouts de chou. Avec leur famille, ils partiront découvrir le village. Vers 12h, un dîner sera servi gratuitement pour les enfants.

    « Nous voulons faire bouger le monde et leur montrer qu’on est là », déclare Mme Therrien. Il y aura donc de l’animation lors de cet événement. Éducazoo sera présent, un groupe de passionnés qui feront découvrir aux jeunes et au moins jeunes des animaux exotiques.

    Il y aura aussi cinq vélos à gagner dans un tirage au sort, lors de cette journée festive.
    Le 23 juin, à partir de 19h, il y aura de la musique sur la rue bord de l’eau. Plus tard en soirée, il y aura des feux de joie et des feux d’artifice.




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