• Tournée québécoise contre la francophobie

    >> Le mouvement "Uni-e-s contre la francophobie" a tenu le premier rassemblement de sa tournée québécoise, dimanche à Longueuil. [...]<time> (24 février</time> 2014 -  Le Devoir)

    On assume !

    «Malaise» croissant chez les anglophones

    >> Au cours de la dernière année, la moitié (51%) des anglophones et des allophones ont envisagé de quitter le Québec, selon un sondage EKOS commandé en février par le réseau CBC. Encore? [...] (26 février 2014 - La Presse)

    Indeed !

  • Hervé Philippe-15-février-2014

    Pétrole québécois, enfin fixé

    (14/02/2014) Est-ce que le Québec dort sur de riches gisements pétroliers qui pourraient assurer son...

    Les Québécois en faveur de l'exploration pétrolière à Anticosti

    (19/02/2014) Le feu vert à l'exploration du pétrole sera électoralement payant pour le gouvernement péquiste, à...


  • <figure class="left" style="box-sizing: border-box; margin: 0px; float: left; position: relative; width: 300px; font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 15.454545021057129px;">Scène de désolation au centre-ville de Lac-Mégantic samedi matin, à la suite de la catastrophe ferroviaire qui a provoqué la mort d'au moins cinq personnes et la disparition de dizaines d'autres<figcaption style="box-sizing: border-box; padding-top: 5px; font-size: 0.769em; line-height: 1.2em; margin-bottom: 29px;">

    Photo : Jacques Nadeau - Le Devoir

    Scène de désolation au centre-ville de Lac-Mégantic samedi matin, à la suite de la catastrophe ferroviaire qui a provoqué la mort d’au moins cinq personnes et la disparition de dizaines d’autres.

    </figcaption></figure>

    Lac-Mégantic, ville dévastée

    <time style="box-sizing: border-box;">8 juillet</time> | Marie-Andrée Chouinard
    Lac-Mégantic –La course folle d’un train en flammes aura fait de Lac-Mégantic une ville en deuil, qui se retrouve à souffrir en même temps toutes sortes de morts : disparition de dizaines de victimes, dont au moins cinq décès confirmés ; dévastation totale d’un centre-ville historique ; économie touristique grevée et des gens sans emploi, sans maison ; jusqu’à une grande fragilité environnementale, les déversements de pétrole ayant porté atteinte à la majesté du lac et la rivière qui se trouve à son embouchure.
    [...]
    (Cliquez dans le titre ou l'image pour lire l'article dans le journal Le Devoir)

  • Petit canard

    Vol à Repentigny : il se sauve avec plus de 800$ d'objets érotiques...

    La police de Repentigny est à la recherche d'un individu qui a commis un vol plutôt inusité vendredi matin dans une boutique érotique de cette municipalité de Lanaudière.

    L'homme en question avait passé près d'une heure à faire des emplettes à la boutique Vidéo Sexxx Plus de la rue Notre-Dame avant de se présenter au comptoir armé d'un couteau de boucher...

    Lisez la suite en cliquant dans le titre


  • Repentigny se réchauffe grâce au Festival Feu et glace

    >> On ne pouvait espérer une plus belle fin de semaine pour célébrer le début du Festival Feu et glace de Repentigny, qui se déroule jusqu'au 17 février au parc de l'île Lebel. La tempête de vendredi a fait place le lendemain à une température froide, mais clémente, et le soleil a su réchauffer les sourires des milliers de festivaliers et des très nombreux enfants qui envahissaient le site de leurs rires.


  • Le Chemin du Roy

    "Le Chemin du Roy se dévoile" :

    "Route chargée d'histoire retenant l'attention des québécois, mais aussi des visiteurs étrangers, le Chemin du Roy (lien entre Montréal et Québec) devient plus familier. Des panneaux d'accueil et d'interprétation installés dans six municipalités lanaudoises présentent un aperçu de l'histoire et du patrimoine de chacune d'elles ainsi que les principaux points d'intérêt."

    Lisez la suite de cet article de l'Hebdo Rive Nord en cliquant dans l'image.


  • Lettre d´information sur l’énergie nucléaire au Québec

    Le développement économique du Québec repose sur la mise en valeur de la recherche et de l’innovation technologiques dans le domaine de l’énergie. En effet, on est au courant que la quantité de CO2 dans l’atmosphère terrestre a augmenté de 30 % depuis le début de l’ère industrielle. Cette quantité devrait augmenter d’ailleurs d’au moins 100 % au cours du siècle.

    En matière d’efficacité énergétique, chaque source de production d’énergie s’accompagne de plusieurs formes de pollution, notamment les gaz à effet de serre et les polluants atmosphériques. Ainsi, les changements climatiques liés aux émissions de GES sont déjà observables et se poursuivront même si nous parvenons à réduire de beaucoup nos émissions.

    Les données à ce sujet nous incitent chercher des sources d’énergie qui permettent de réduire notre dépendance à l’égard des combustibles fossiles, soit l’hydro-électricité, l’énergie éolienne, l’énergie nucléaire, etc. Alors, en ce qui concerne l’énergie nucléaire, jadis vantée comme une source d’énergie sécuritaire, propre et bon marché, cette source est perçue aujourd’hui par bien des Québécois comme dangereuse et coûteuse, même si la centrale nucléaire Gentilly 2 –  la seule au Québec, – est toujours en opérations et est considérée comme étant très sécuritaire.

    Mais peut-on en être ŝur? En effet, les réacteurs CANDU modernes, comme celui de Gentilly-2, sont dotés de systèmes de sûreté sophistiqués. N’empêche, aucune invention humaine n’est à toute preuve.

    En 1952, un accident survînt à Chalk River, en Ontario, dans un réacteur expérimental NRX. Une perte subite de l’eau de refroidissement au coeur du NRX provoqua une impulsion de puissance. Des explosions propulsèrent le toit de l’enceinte de confinement des gaz quatre pieds dans les airs. En résultat, il y eut des fuites de gaz et de vapeurs radioactifs dans l’atmosphère. Un million de gallons d’eaux irradiées furent déversé dans des tranchées peu profondes non loin de la rivière Outaouais. Le coeur du réacteur étant anéanti, il fallut l’enterrer comme déchets radioactifs.

    En 1983, un accident est arrivé dans le réacteur numéro 2 à la centrale Pickering, situé a 30 km du centre-ville de Toronto. Un tube de force a éclaté sans préavis au coeur du réacteur provoquant une perte d'agent de refroidissement. Il a fallu remplacer touts les tubes de force dans les réacteurs n° 1 et 2 pour éviter une réédition de l’accident. Ces deux réacteurs ont été fermés pendant quatre ans et la facture de l’opération de remplacement des tubes a monté à 700 millions. (Notons en passant que l’industrie nucléaire s’est souvent trompée dans ses prévisions sur les coûts. Prenons à titre d’exemple la centrale Gentilly-2 qui devait coûter 400 millions et a fini par coûter environ 1 500 millions).

    Rappelons-nous que à la fin des années 1970, après l’avènement au pouvoir du PQ, le gouvernement de René Lévesque décréta un moratoire sur la construction de nouvelles centrales nucléaires au Québec (à l’époque Hydro-Québec projetait construire jusqu’à trente centrales nucléaires sur les rives du Saint-Laurent et avait même commencé à en choisir les sites - Sainte-Croix de Lotbinière était du nombre). Ce moratoire sur le nucléaire est maintenant échu, le gouvernement actuel ne l’ayant pas prolongé.

    Mais existe-t-il d’autres sources que l’énergie nucléaire et que le pétrole. La réponse à cette question est toujours positive :

    En effet, grâce à sa capacité de production d’énergie hydraulique, le développement hydroélectrique représente toujours un levier important de l’économie québécoise et canadienne et la grande flexibilité de l’énergie hydraulique couplée à l’énorme capacité d’entreposage de l’énergie que constituent les réservoirs d’Hydro-Québec, permettraient au Québec de profiter beaucoup de ses sources d’hydro-électricité.

    Considérant les progrès technologiques réalisés dans le domaine de l’énergie éolienne, plusieurs experts recommandent d’ailleurs que le gouvernement du Québec poursuive l’implantation de cette filière, mais des programmes d’essais intensifs doivent être menés avant de généraliser l’application de cette source. En tout cas, selon Wikipédia, le Québec aurait un potentiel éolien théorique total, mais techniquement exploitable, de 3 984 322 MW soit près de 100 fois la puissance de l’ensemble de ses centrales hydrauliques. La principale limite au développement du potentiel éolien du Québec est la capacité du réseau électrique actuel à intégrer à peu de frais cette nouvelle production.

    Bref, le Québec pourrait profiter de la complémentarité naturelle entre l’éolien et l’énergie hydraulique pour pousser la part de l'éolien à plus de 20 % de la capacité de production totale.

    D’autres sources, telles l’exploration et la mise en valeur du potentiel pétrolier et gazier du Québec, le biogaz, afin de réduire sa dépendance face aux importations d’hydrocarbures. D’ailleurs, en ce qui a trait au gaz naturel, il faut diversifier les sources d’approvisionnement et de favoriser l'utilisation du gaz naturel à des fins de chauffage, parce la filière thermique par combustibles fossiles ne doit pas être utilisée au Québec, sauf dans des cas bien précis (périodes de pointe, etc.).

    Aujourd’hui, la production d’électricité selon la source d’énergie au Québec est comme suit : Hydraulique : environ 99,8%, thermique : 2,8%, nucléaire : 2,8%, éolienne : moins d’un pour cent (évaluation).

    Pour compléter la lecture : 


  • Vivez l’histoire en famille
    avec les Fêtes de la Nouvelle-France !

    Fêtes de la Nouvelle-France SAQ

    Chaque été, le passé ressurgit en grandes pompes lors des Fêtes de la Nouvelle-France SAQ à Québec, question de célébrer l’histoire des premiers arrivants européens sur le territoire. Cette année, les festivités auront lieu du 4 au 8 août, sous le thème de la famille! Petits et grands sont donc invités à voyager au cœur du quotidien des habitants du 17e et 18e siècles. De nombreuses animations ont lieu tous les jours et un grand rassemblement prend d’assaut la Place Royale chaque après-midi pour vous divertir.

    Les événements à ne pas manquer

    Chaque journée a de quoi vous surprendre durant les Fêtes de la Nouvelle-France! En plus des reconstitutions historiques dans les rues du Vieux-Québec, le site lui-même fait partie du décor et nombreux sont les festivaliers costumés qui se laissent gagner par la frénésie historique.

    Fêtes de la Nouvelle-France SAQ

    Le défilé d’ouverture sera présenté mercredi 4 août à compter de 19 h et vous promet une soirée haute en couleur. Dès le lendemain débutent les grands rassemblements sur la Place Royale qui ont lieu chaque après-midi. Le 5 août, ne manquez pas la bénédiction des bedaines, alors que le 6 août sera dédié au baptême grand public. L’apogée aura lieu le samedi après-midi alors que le capitaine Samuel de Champlain célébrera un mariage pas ordinaire… celui du géant Sieur Saint-Laurent et de sa douce moitié, Dame Cap Diamant, qui se sont fiancés lors de la Saint-Jean-Baptiste à Montréal. Puis, pour la dernière journée, une voyante prédit sa propre mort… venez voir ce qui arrivera par la suite!

    Les grands classiques sont de retour!

    Sur la Place de Paris, le très couru marché public UPA sera de retour encore cette année, sous la thématique « Une chance qu’on sème ». Vous pourrez ainsi rencontrer des centaines de producteurs et productrices agricoles qui vous feront découvrir leurs délices. Faites un tour à l’Auberge SAQ Chez Boisvin pour vous restaurer comme à l’époque! Autrement, les sites sont animés par plus de 100 artistes en tout genre qui performeront tout au long de l’événement.


  • Séisme au Québec et en Ontario

    Des dégâts matériels, mais pas de victime

    (Allez sur Radio-Canada pour l'article complet)

    Mise à jour le mercredi 23 juin 2010 à 23 h 20

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    Carte de l'épicentre

    Un tremblement de terre a été ressenti mercredi après-midi dans plusieurs régions de l'ouest du Québec, de l'est ontarien et du nord-est des États-Unis.

    La magnitude du séisme, survenu à 13 h 41 HAE, était de 5, selon les données du US Geological Survey (USGS), le centre de surveillance sismologique américain. Elle avait d'abord été évaluée à 5,7 et ramenée à 5,5 dans l'heure suivant l'événement.

    Son épicentre était situé à Val-des-bois, à 30 km au nord de Buckingham et à 55 km au nord d'Ottawa, à une profondeur d'un peu plus de 16 km, toujours d'après les données du USGS.

    La secousse a été ressentie notamment en Outaouais, à Ottawa, à Toronto, en Abitibi, à Montréal, en Mauricie, à Québec et au Saguenay-Lac-Saint-Jean. En Ontario, même les populations de Sault-Sainte-Marie et de Timmins, des villes situées à quelque 800 km de l'épicentre du séisme, ont senti la terre trembler.

    Le tremblement de terre a aussi été ressenti dans le centre et l'est des États-Unis, notamment en Ohio, au Michigan, au Vermont, dans le Massachusetts et dans l'État de New York.

    Gracefield décrète l'état d'urgence

    Les dégâts les plus importants ont été rapportés à Gracefield, à une centaine de kilomètres au nord de Gatineau, où le maire Réal Rochon a déclaré l'état d'urgence. Des édifices ont été endommagés, dont le clocher de l'église qui menace de s'effondrer. Une périmètre de sécurité a été érigé autour du bâtiment religieux.

    « L'église, la salle communautaire et les bureaux de la Ville ont été fissurés », a expliqué le maire Rochon. Le plancher de l'édifice municipal est endommagé, tout comme la structure du centre communautaire, plusieurs parties du plafond s'étant effondrées. On ne rapporte aucun blessé.


    Photo: La Presse Canadienne /Adrian Wyld
    Une partie de la route s'est effondrée à Bowman.

    Une partie de la route s'est effondrée à Bowman dans le séisme
 de  magnitude 5.

    Des commerçants de Notre-Dame-de-la-Salette ont aussi vu une partie de leurs étalages tomber au sol en raison de la secousse.

    À Bowman, près de l'épicentre du séisme, une section de 30 mètres de la route 307 s'est effondrée près d'un pont. Les automobilistes doivent effectuer un détour de 25 kilomètres pour se rendre à destination. Des employés d'Hydro-Québec étaient sur place pour évaluer les dégâts.

    Une panne de courant et de réseau de téléphonie cellulaire a touché le centre-ville d'Ottawa. Des vitres ont été fracassées et des murs fissurés à certains endroits. Les autorités ont mené une inspection préventive de l'édifice du Parlement, où des évacuations ont eu lieu.

    VIA Rail a procédé à des vérifications de son réseau dans la région d'Ottawa. Le trafic ferroviaire a été interrompu dans l'axe Québec-Windsor par mesure préventive, mais a repris depuis. L'Agence métropolitaine de transport (AMT) a aussi arrêté temporairement ses trains dans la grande région de Montréal. Le service est maintenant rétabli.

    Il se produit une centaine de séismes par année au Québec seulement. De 5 à 10 sont ressentis par la population.

    Selon le USGS, l'un des plus forts tremblements de terre à avoir été ressentis dans l'ouest du Québec était un séisme de magnitude 6,1 survenu en 1935.

    Bien que seulement deux ou trois séismes soient ressentis chaque année dans la région « Ouest du Québec » de la carte des zones sismiques du Canada, comprise entre la vallée de l'Outaouais depuis Montréal jusqu'au Témiscamingue, ainsi que les régions des Laurentides et de l'Est de l'Ontario, il s'en produit environ 65 par année dans ce secteur.

    Radio-Canada.ca avec Presse canadienne

    En profondeur

    La terre tremble au Canada

    Les principaux séismes au Canada, l'explication scientifique, les cartes, le séisme sur le web, les photos des citoyens.


  • Voici la dernière infolettre de ce fabuleux site qu'est Grand Québec, et qui nous apprend qu'il vient d'y avoir un nouveau glissement de terrain en Montérégie, au sud du Montréal :

     

    Le 11 mai 2010, la terre s’est ouverte à Saint-Jude, engloutissant une partie de ce village montérégienne. Les sauveteurs ont les corps sans vie d’un couple de leurs deux filles.

    Les quatre membres de la famille se trouvaient au sous-sol de leur élégante maison de campagne en train d’encourager le Canadien de Montréal, lorsque le glissement de terrain s’est produit. Il a laissé un grand cratère et il a aussi avalé trois voitures et un tronçon de route asphaltée.

    Malheureusement, ce ne pas la première fois qu’un glissement de terrains cause la perte de vies. En fait, ce phénomène est plutôt assez courant.

    Voici un recueil de glissements de terrain les plus importants survenus au Québec depuis la fondation de la Nouvelle-France et jusqu’à nos jours :

     1663 : D’effroyables tremblements secouèrent toute la Nouvelle-France pendant plusieurs fois. La première secousse eut lieu le 5 février 1663, mais la terre trembla pas moins de 34 fois au cours des sept mois suivants. Ce tremblement de terre bouleversa le paysage. Des cours d’eau disparurent, des rivières sentaient le soufre et certaines devinrent jaunes et d’autres étaient rouges comme le sang. Des forêts entières s’abattirent comme des châteaux de cartes, des crevasses s’ouvrirent et des montagnes s’effondrèrent dans le Saint-Laurent… Au fait, le nom du Village des Éboulements évoque le glissement de terrain qui a profondément modifié la topographie de la Nouvelle-France à la suite de ce tremblement de terre. Pour plus de détails :

     17 mai 1841 : Un éboulement balaie la rue Petit-Champlain de la ville de Québec. Le glissement du terrain détruit neuf maisons et cause la mort de 39 personnes : Ligne du temps - 1841

     12 novembre 1955 : À Nicolet, trois personnes meurent à la suite d’un glissement de terrain qui emporte de nombreux bâtiments - l’évêché, le palais épiscopal, le poste d’essence, des maisons, le collège des Frères. En outre, il faudra démolir la cathédrale de Nicolet. En l’espace de dix minutes, près de deux cent cinquante mètres cubes de terres ont glissé dans la rivière Nicolet, formant un cratère d’environ 12 mètres de profondeur, plus de cent vingt mètres de largeur et près de deux cents mètres de longueur. Pour plus de détails sur cette catastrophe : Ville de Nicolet.

     4 mai 1971 : Le village de Saint-Jean-Vianney de Shipshaw, situé à 20 km au nord-ouest de Chicoutimi, est anéanti par un glissement de terrain. Près de 35 maisons, sur un total de 70, ont été englouties dans une mer de boue. La catastrophe a fait 31 morts. Pour plus de détails : Glissement de terrain au Saguenay et  Chicoutimi.

     21 juillet 1996 : Une violente tempête, accompagnée par des pluies diluviennes, ravage l’Est du Québec. Glissements de terrains, éboulements, ruisseaux, rivières et lacs rendus furieux, les eaux arrachant tout sur leur passage, ponts emportés ou submergés… Huit morts, des milliers de personnes évacuées et des dégâts matériels qui se chiffrent en dizaines de millions de dollars, tel est le bilan de la tragédie. Pour plus de détails : Catastrophe au Saguenay .

     Pour compléter la lecture, voici notre article sur les villages québécois qui fondent : …En 1998, le village de Salluit a connu un glissement de terrain majeur et un grand nombre de maisons ont été perdues. …Le même problème est présent à Umiujaq, un village d’une population de 300 Inuits, où personne n’ose construire de nouvelles maisons. À Kuujjuarapik, les Cris ont signalé de nombreux craquements survenus dans les routes et terrains…. Remarquons que plusieurs pistes d’atterrissages, construites en pergélisol, fondent aussi ce qui met en danger le système de communications entre les villages.

     Lisez la suite : Villages qui fondent .

     Bonne lecture!





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