• Ah si mon moine voulait danser !

    Deux interprétations bien différentes et bien intéressantes de cette chanson traditionnelle. Mais... qu'est-ce qu'un moine ?

    AlCaribou


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    Une chronique est parue dans le dernier numéro de CHORUS, la revue de référence de la chanson (disponible chez les marchands de journaux tous les trimestres), à propos du CD de Christine Authier "chansons aux pommes", sous la plume de Marie-Agnès Boquien.

     


    Chanteuse et femme de radio passionnée, Christine Authier (voir Chorus 12, portrait) destine les mois à venir aux enfants avec un spectacle créé à la Scène Nationale de Niort et bien sûr ce disque qui met les pommes à la fête, des pommes comme autant de visages qui rejouent des petites tranches de vie et rêvent de changer les gens .De la naissance (Tit frère, tite soeur) à la maturité (un bisou, un câlin, une histoire) puis la mort, (bonjour mon chéri, bouleversante chanson par sa justesse) les voilà rassemblés sur l'arbre transgénérationnel. Peu à peu, on se laisse croquer par le moelleux et l'apparente légèreté d'un style un peu classique sur les bords, mais assez vite estompé par la générosité qui en émane.

     

     


    Site officiel de Christine Authier

    Ecoute gratuite d'un disque de Christine Authier

     

    Quand l’arbre à pommes devient l’arbre généalogique, la musique l’enchante et la famille entière se met au diapason.

    Inspirée par l’expression “C’est ma pomme” et associant l’idée du pommier à l’arbre généalogique, Christine Authier, accompagnée de Lionel Dudognon à la guitare,

    et Richard Puaud aux percussions,

     

     

     

    offre l’occasion aux enfants de constituer leur arbre familial personnel. Des mélodies évoquent les parents, les frères et soeurs, les papis et mamies, les copains, les doudous, la maîtresse, le Père Noël, les loups, etc…


           


     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Christine Authier s'adresse aux enfants avec respect, tendresse et humour. La musique évoque celle du début des années 60, et ravit les oreilles des grands-parents. Elle s'adresse à sa petite-fille et à ses copains.Son spectacle est une coupe de fraîcheur pour nous reposer de toute la "mauvaise chanson" que l'on diffuse sur les ondes.


     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Son disque "chansons aux pommes" est disponible en contactant son association 

    "bonjour les gens"

    Christine Authier chante aussi pour les adultes. Après les cailloux du Saint-Laurent, disque évoquant le Québec où elle a longtemps séjourné, elle revient avec l'insoumise :

    "L'INSOUMISE "

    SAMEDI 16 MAI A 21 HEURES 30

    SALLE POLYVALENTE

    DU FOYER RURAL

    A SAINT LEGER DE LA MARTINIERE

    (près de Melle, dans les Deux-Sèvres)

    L'entrée est gratuite.

    Ce spectacle fait la part belle aux nouvelles chansons "John", "les petites madames" "Yangui", "les deux soeurs"... qui sont des chroniques dans lesquelles Christine excelle .On y retrouve la verve, l'humour et le rythme de tous ses spectacles .Et d'autres perles, plus douces, venues de loin, s'installent en contrepoint, en contre-chant, paisiblement.

    Comme toujours, sa voix, ses mélodies, ses textes bienfaisants, nous emmènent dans son univers d'une généreuse lucidité au milieu des bruits du monde.

    Il est possible de dîner sur place avant le spectacle.

    Pour ce faire, il faut réserver avant le 9 mai en téléphonant au

    05 49 27 15 48 ou 05 49 27 17 25

      

     


  • SUDOUEST.COM /charente-maritime


    SAINT-GERMAIN-DU-SEUDRE.

    Étienne Bouchard fait son retour en Saintonge

    Depuis une quinzaine d'années, il ne se passe pas un printemps sans voir le retour du chanteur québécois Étienne Bouchard chez ses cousins saintongeais. Avant de partir quelques jours donner des concerts dans l'Aude, le pianiste sera ce soir au Domaine du Seudre, où il animera un dîner avec le contrebassiste Olivier Cherby, avant de se produire samedi, à 14 heures, à la salle des fêtes de Saint-Jean-d'Angély.

    À son retour, il sera possible de l'entendre à Saint-Sulpice-de-Royan le 29 mai, où il chantera en compagnie d'écoliers, puis à Montguyon le 6 juin, avec la chorale « Au choeur du Lary ». « Les amours continuent, j'ai des amis ici, les liens sont très forts », sourit le plus saintongeais des Québécois.




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  • ©Photo DR


    L'association "Bonjour les Gens" est heureuse de vous  annoncer  le prochain spectacle de

     CHRISTINE AUTHIER   

    "LES CAILLOUX DU ST-LAURENT"

    MARDI 31 MARS  20 HEURES 45

    SALLE LA HUNE à SAINT BENOIT (près de Poitiers)
    1 avenue Champ de la Caille
    86280 Saint-Benoit

    Prix des places : 18 euros
    RESERVATIONS à l'office de tourisme de Saint-Benoit
    05 49 47 44 53

    http://www.ville-saint-benoit.fr

    Au plaisir de vous y retrouver 


     

    Le nom et le répertoire de Christine Authier sont désormais synonymes de belle chanson française sur fond de « picking folk ». Native du Poitou, elle a le sens des mélodies et sculpte des histoires qui mettent en scène les joies et les difficultés de chacun. C’est une raconteuse, une femme qui chante et exprime une musique délicate et festive qui va de la ballade à la tournerie endiablée... (La Nouvelle République)
     


  •  Le Pascale Picard Band de retour en France

    Pascale Picard

    le Pascale Picard Band


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    Ce qui ne devait être qu’un « showcase » s’est transformé en raz-de-marée. Le spectacle du Pascale Picard Band donné en octobre dernier à La Cigale a été présenté à guichet fermé devant plus de 1000 spectateurs survoltés.<o:p></o:p>

    C’est donc à la demande générale que Pascale Picard et son groupe reviennent en force avec une tournée de deux mois à travers la France, la Belgique et la Suisse.<o:p></o:p>

    Le public français a réservé un bel accueil au premier album Me, myself & us qui est déjà Disque d’or en France. Les ventes au Québec ont dépassé, depuis sa sortie en juin dernier, les 165 000 exemplaires. <o:p></o:p>

    Notons qu'à l’issue de cette nouvelle tournée, le groupe s’éloignera de la scène un moment pour finaliser les morceaux de son prochain disque. Le deuxième opus du Pascale Picard Band devrait être prêt à la fin de l’année. <o:p></o:p>

    En attendant, il faut voir et entendre la nouvelle révélation de Québec sur scène près de chez-vous !

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    Pascale Picard Band

    Date : 
    Du 6 mars 2009 au 11 avril 2009 <o:p></o:p>

    Lieu :<o:p></o:p>

    06/03:Alençon/La Luciole
    07/03  : Rennes/Salle de La Cité
    10/03 : Petit Quévilly-Rouen/L’Exo 7
    11/03 : Nantes/L'Olympic
    12/03 : Vichy/Centre culturel Valery Larbaud
    13/03 : Lyon/La Bourse du Travail
    18/03 : St Julien les Metz/Cotton Club
    19/03 : Strasbourg/La Laiterie
    20/03 : Terville/Le112
    21/03 : Lille/Le Splendid
    24-25/03 : Paris/Le Bataclan
    26/03 : Beauvais/L'Ouvre Boite-Asca
    27/03 : Hérouville St-Clair/Big Band Café
    28/03 : Brest/La Carène
    01/04 : Niort/Le Loup Blanc
    02/04 : Bordeaux/Théâtre Femina
    03/04 : Ramonville-Toulouse/Le Bikini
    04/04 : Clermont-Ferrand/La Coopérative de Mai
    08/04 : Perpignan/El Médiator
    09/04 : St-Amand les Eaux/Le Pasino
    10/04 : Nice/Théâtre Lino Ventura
    11/04 : Montpellier/Le Rockstore

    A surveiller

    30-05 : Dans le cadre du festival Papillons de Nuit à Saint-Laurent de Cuves (50)

     

     


  • Yves Lambert
    et le Bébert Orchestra
    A l'Astrolabe à La Rochelle
     

    Cet orchestre québécois a été invité dans le cadre des « apértifs-concerts » organisés par l'espace culturel du quartier de Mireuil, à La Rochelle.

    Yves Lambert fut le leader de « la bottine souriante », groupe folklorique né en 1976 dans la région de Lanaudière, qui faisait partie d'un mouvement de retour aux sources qui a permis à toute une génération de retrouver ses racines, à la fois celtiques et acadiennes (la bottinesouriante).

     

     

    En 2004, il forme « le Bébert Orchestra » avec de talentueux jeunes musiciens (Guitares, voix : Olivier Rondeau, Violon, pieds, voix : Nicolas Pellerin, Violon, bouzouki, mandoline, voix : Tommy Gauthier, Contrebasse, basse électrique : Simon Lepage, Accordéon, voix et plus : Yves Lambert.).

    Leur répertoire ? De la musique traditionnelle qui se veut porte parole du patrimoine québécois dans un contexte contemporain, mais aussi des chansons du répertoire francophone et même mondial aux accents des îles du Pacifique, le tout arrosé d'une pointe d'humour politique. Des moments aussi d'émotions, quand il rend hommage à un ami parti trop vite...qu'il conclue en rappelant « qu'il faut bien mordre dans la vie, car on ne sait jamais ce qui nous attend ». Il parle de « musique thérapeutique ». Il rend hommage à la culture : « la culture, c'est se rassembler et prendre conscience de la collectivité ». Dans le monde de Lambert on peut croire que tout est possible ; « c'est en se mettant debout qu'on fait bouger le monde », nous dit-il.

    La critique québécois n'hésite pas à présenter Monsieur Lambert (comme il aime à se présenter lui-même) comme un phare dans l'esthétique du patrimoine culturel québécois, par sa manière bien personnelle de lier la pertinence de son propos avec l'anecdotique et ses préoccupations.

     

     

     

     

     

    L'ambiance est à la bonne humeur. La salle est comble. Des danseuses se laissent emporter par le rythme de ces musiciens de talent.

     

     

     

     

     


     

     

     

    Ils reviennent après les applaudissements avec un texte de Baudelaire mis en musique par Léo Ferré, un solo de Caracol, ce coquillage des mers chaudes. Le concert se referme sur « Petite Fleur » dans une transcription pour harmonica.

     

     

     

     

     

     

     

    Après la musique, un sympathique apéritif et un échange avec les musiciens. Ils viennent presque tous de la région de Lanaudière : Montréal, Lavaltrie, Sainte-Mélanie. Ils connaissent bien sûr Saint-Sulpice. Ils ont récemment donné un concert au café culturel de la Chasse-Galerie, à Lavaltrie (http://www.chasse-galerie.ca/).

     

     

     




    Certains viennent de la musique folklorique, d'autres du Rock (des accents à la Jimmy Hendrix sont d'ailleurs perceptibles à certains moments).


    Leur tournée de 38 jours va les conduire aux quatre coins de la France. Le décalage horaire se fait sentir, mais ils dormiront au retour !

     

    Texte et images de Flonigogne

     

    LES INSTRUMENTS DE MUSIQUE :

    Le violon dans la musique traditionnelle québécoise :
    On sait que le violon était présent en Nouvelle-France, mais l'actuel répertoire de violon a peu à voir avec l'héritage français. Il en subsiste peut-être quelques traces (par exemple, on parle encore de « quadrilles »), mais essentiellement, la musique traditionnelle instrumentale québécoise est dérivée de sources écossaises, irlandaises et, dans une moindre mesure, américaines. Et comme c'est le cas en Irlande, une grande variété de traditions régionales ont vu le jour, par exemple dans les environs de Québec, en Gaspésie, au Saguenay-Lac-Saint-Jean et aux Îles-de-la-Madeleine.

     

     

     

    L'harmonica :
    Au Québec, l'harmonica, familièrement connu comme « musique à bouche » ou « ruine-babines », partage avec le violon et l'accordéon un vaste répertoire de danses de folklore (reels, quadrilles, gigues et valses).

     

     

     

    L'accordéon :
    Au Québec, l'accordéon fait partie des fêtes populaires depuis la moitié du XIXe siècle et le personnage du Père Zim, adopté au Québec par le biais des immigrants français vers la fin du XIXe siècle, qui associait la danse à la musique populaire, est devenu légendaire (hélas, il est presque oublié de nos jours).
    (Le Père Zim est un personnage québécois légendaire, mais hélas presque oublié de la fin du XIXe et de la première moitié du XXe siècle qui faisait partie du temps des sucres. Cet homme pittoresque est le symbole de la musique et de la danse: il joue de l'accordéon, de l'harmonica, il fait des blagues, mais il peut aussi punir ceux et celles qui se cachent dans les coins sans danser, par crainte d'user leurs chaussures, ou par excès de timidité).

    La guimbarde :
    La guimbarde est un instrument de musique idiophone (Un idiophone est un instrument dont le matériau lui-même produit le son lors d'un impact, soit par un instrument extérieur (comme une baguette), soit par une autre partie de l'instrument) lui-même. Son origine est très ancienne. Elle existe en Europe depuis au moins l'époque gallo-romaine, mais elle est aussi très répandue en Asie et en Mélanésie. Elle est, de fait, réputée être l'un des instruments de musique les plus anciens du monde. C'est un instrument utilisé de tout temps par les chamans, notamment dans les pays scandinaves et en Sibérie. Malgré son apparence simpliste elle est aussi un instrument de la musique savante dans certains pays, mais sa destination habituelle est plutôt la musique populaire ainsi que l'indiquent les nombreux termes pour la désigner en France par exemple : Guimbarde, Harpe à bouche, Trompette tsigane, Trompe-laquais, Trompe de Béarn, Hanche-en-ruban, Campurgne, Citaro. Aux Etats-Unis, elle est aussi connue sous le nom de Jew's Harp qui pourrait être une déformation du français jeu. Dans de nombreux pays d'Asie, elle est désignée sous différents noms suivant sa forme, le matériau utilisé pour sa fabrication voire selon l'usage.

     

    La contrebasse électrique :
    A la différence d'une contrebasse classique avec une caisse de résonance, la qualité du son produit par une contrebasse électrique est fonction de la qualité de l'ampli. Elle est quatre fois plus petite que la contrebasse, et ressemble plutôt à un violoncelle.

     

     

    La basse électrique :
    La guitare basse (simplement appelée basse) est un instrument de musique à cordes amplifié conçu selon le même principe que la guitare électrique. Depuis les années 1960, la guitare basse a remplacé la contrebasse dans la majorité des musiques populaires comme le rock et la pop. Depuis les années 1970, la guitare basse est régulièrement utilisée comme instrument soliste dans un type de jazz appelé le jazz-fusion.


    La guitare électro-acoustique
    La guitare électrique est le plus souvent dépourvue de caisse de résonance, car l'amplification du son y est confiée essentiellement à des microphones situés sous les cordes. Son corps est donc simplement constitué d'une pièce de bois assez épaisse, sur laquelle sont fixés chevalet, manche et parfois cordes.
    Sur certains instruments, notamment électriques de haut de gamme, le sillet lisse du chevalet est remplacé par six mini-sillets (généralement métalliques), appelés « pontets », permettant un réglage individuel de la longueur de chaque corde.
    Si les guitares électriques sont majoritairement de type solid body (« corps plein »), de nombreux modèles existent avec des corps semi-évidés (semi hollow) ou totalement évidés (hollow). Appelées en français « demi-caisses », leur table d'harmonie est habituellement pourvue d'orifices (les ouïes) rappelant ceux des violons. Ces guitares sont plus légères, et leur son plus cristallin compense des vibrations moins puissantes. Dans le cas de manches conducteurs, la caisse consiste juste en deux « ailes » rapportées par collage de chaque côté du manche.
    Certaines guitares dites "électro-acoustique" ont des ouïes décentrées de diverses formes (circulaires ou ovoïdes), et même, sur certains modèles électro-acoustiques, pas d'ouïe du tout. Leur corps est parfois dépourvu d'éclisse, et est réalisé en matière plastique moulée et renforcé de fibres de verre ou de carbone.

     

     

     

     

     

     

     

    Le bouzouki :
    Le bouzouki est un instrument de musique répandu en Grèce dont il est souvent considéré comme l'instrument « national » depuis le milieu du XXème siècle. C'est un luth à manche long fretté, de la famille du tambur, cousin du saz turc. Le mot bouzouki dérive du turc bozuk signifiant « cassé » ou « déraciné ».

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le Didgeridoo :
    Le didgeridoo est un instrument de musique à vent de la famille des aérophones. A l'origine, cet instrument est joué par les Aborigènes du Nord de l'Australie, son usage semble très ancien, certains prétendent qu'il pourrait remonter à l'âge de pierre (20 000 ans), d'après une peinture rupestre ancestrale, représentant un joueur de didgeridoo, analysée au carbone 14. C'est une trompe en bois, lointaine cousine du cor des Alphes ou du tongqin tibétain.
    Didgeridoo, didjeridoo, didjeridu ou didjeridou, est un mot d'origine anomatopéique inventé par les colons occidentaux à partir du son de cet instrument. Les Aborigènes le nomment différemment en fonction de leur ethnie. Parmi la cinquantaine de noms, les plus courants sont : yidaki, mooloo, djubini, ganbag, gamalag, mago, maluk, yirago, yiraki, etc.

     

    Le cajón :
    Le cajón est un instrument de musique inventé au Pérou par les esclaves africains privés de leurs percussions traditionnelles. Il fut très certainement à ses débuts une caisse destinée à la cueillette des fruits ou à la pêche des poissons, les esclaves n'ayant pas accès à autre chose que les matériaux rustiques. Le cajón actuel possède généralement un élément de plus, le timbre, qui rend le son proche de celui d'une batterie.
    Le cajón est une caisse de résonance parallélépipédique, de 50cm x 30cm x 30cm (hauteur/largeur/profondeur) en moyenne. La plaque de frappe (devant) est plus fine que les autres côtés, ce qui permet une élasticité et une résonance propre au cajón. Au dos, un trou d'environ 10cm de diamètre permet la sortie du son (même effet qu'un évent de décompression d'une enceinte de sono). Un timbre situé sous la plaque supérieure vibre lors de la frappe de l'instrument. Il permet de différencier les cajones, tout en donnant au son cette ressemblance à la caisse claire de la batterie. Il peut être constitué :
    • de cordes de guitare ou de basse
    • d'un timbre de caisse claire de batterie
    • de clochettes
    • de tout objet métallique pouvant vibrer.
    Certains cajones n'ont pas de timbre ce qui donne un son ressemblant plus au son type bongo. Le cajón typique du flamenco a le haut de la surface de frappe (face avant) non fixée sur la partie supérieure ce qui lui donne un son claqué.
    On joue du cajón en étant assis dessus, mais certaines personnes l'utilisent bloqué à plat entre les jambes (comme un djembé) ou encore posé sur un socle devant soi.
    Différents sons se situent sur diverses parties de l'instrument, en allant du haut vers le centre on obtient des sons du plus aigu au plus grave.
    Le cajón peut se jouer avec les mains mais aussi avec les talons des pieds : Une technique consiste à poser le pied sur la table de frappe de haut en bas pour modifier le son pendant que l'on joue avec les mains.
    D'apparence rudimentaire, il offre de multiples combinaisons sonores s'adaptant à tous les genres musicaux même s'il reste l'instrument phare des musiques latines, traditionnellement des musiques criollas de la côte péruvienne.

    Le Caracol :
    Dans la région Caraïbe, vit depuis très longtemps, plus longtemps que l'arrivée des premiers hommes, un grand et beau coquillage que tous les Caribéens connaissent et à qui ils ont donné une quantité de noms différents. On l'appelle Caracol rosa au Mexique, mais dans le Mexique préhispanique, les Aztèques l'appelaient Teccizmama. On le connaît sous le nom de Botuto au Venezuela, Cambombia au Panama, Cambute au Costa Rica, Caracol gigante au Honduras, Caracol pala en Colombie, Caracol au Nicaragua, Carrucho à Puerto Rico, Cobo à Cuba. En Floride, aux Bahamas et dans tous les pays où on parle anglais, on l'appelle Queen conch. En français, on l'appelle Strombe géant mais, en Guadeloupe et en Martinique, tout le monde le connaît sous le nom de Lambi, qui vient des temps lointains où les petites Antilles étaient habitées par des peuples indiens venus d'Amérique du Sud. On l'appelle aussi Lambí à Haiti et à Saint Domingue. Les biologistes l'appellent Strombus gigas
    Au temps de l'esclavage, il permettait de communiquer de colline en colline pour annoncer les grands événements de la vie; naissance, mariage, mort, mais aussi les révoltes. Il annonçait l'arrivée des canots de pêche et donnait le signal de la récolte des ignames. C'était à la fois la radio, le téléphone et un instrument de musique. Les plus belles coquilles décoraient les tombes des pêcheurs. Les autres ont été utilisées pour faire des digues et il reste encore des fours à chaux, témoins de son utilisation industrielle. Il faisait partie de la vie de tous les jours, des jours de fête et des jours
    de deuil.

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    La plupart des informations concernant les instruments de musique proviennent de Wikipedia

    D'autres instruments n'ont pas été identifiés : instruments de transe africains, grelots de coquillages du Pacifique ? Toute information concernant ces instruments de musique sera la bienvenue.

    Pour aller plus loin, voici quelques liens :

    Tournée en France d'Yves Lambert et le Bébert Orchestra
    Biographie d'Yves Lambert
    Maison d'édition la pruche libre
    Extraits de chansons
    Yves Lambert présente le Bébert Ochestra
    Article dans l'Hebdo Rive Nord


  • Apéro-Concert québécois ce jeudi 19 février à 19h à l'Astrolabe avec Yves Lambert et le Bébert Orchestra. Ancien leader du groupe "la Bottine Souriante", Yves Lambert est considéré comme une référence dans le patrimoine culturel et a contribué à faire connaître la musique traditionnelle au delà des frontières canadiennes et québécoises.   Entrée participative / réservation conseillée

    Apéro-concert Yves Lambert et le Bébert Orchestra Musique traditionnelle du Québec

    Jeudi 19 février à 19 H00

    Apéro-concert

    Yves Lambert et le Bébert Orchestra
    Musique traditionnelle du Québec
    Jeudi 19 février à 19h
    entrée participative
    Réservation à L'Astrolabe 05 46 67 47 67

     

    Visitez le site !

     

     


  • CHRISTINE AUTHIER  PRESENTE

    « LES CAILLOUX DU SAINT-

    LAURENT »

    BIOGRAPHIE

    Sa carrière commence en 1978 avec un premier succès, « La noce d’Etienne », couronné par plusieurs grands prix (Charles Cros, FNAC).

    Christine Authier intègre l’agence prestigieuse de Jean Dufour (qui s’occupe des carrières de Félix Leclerc, Yves Duteil, Julos Beaucarne, Pauline Julien).

    Le nom et le répertoire de Christine Authier sont désormais synonymes de belle chanson française sur fond de picking folk. Native du Poitou, elle a le sens des mélodies et sculpte des histoires qui mettent en scène les joies et les difficultés de chacun. C’est une raconteuse, une femme qui chante. Son style : pudique et joyeuse, elle exprime une musique délicate et festive, qui va de la ballade à la tournerie endiablée…

    Sa musique n’est pas traditionnelle ; elle naît dans l’air du temps. Elle n’est pas à la mode, elle est libre comme l’oiseau.

    Des années après ses premiers pas de chanteuse, après mille voyages et ne centaine de chansons (sept albums au total) elle revient au pays, et commence son premier grand récit personnel, son épopée : ‘Les cailloux du Saint-Laurent ».

     

    « LES CAILLOUX DU SAINT-LAURENT »

    Christine Authier a renoué un amour indéfectible pour l’Amérique francophone, ne s’est pas lassée de ses allers-retours entre le Poitou de ses racines et la Nouvelle-France, sa cousine. Cela lui permet de faire la musique qu’elle aime, car elle vient du folk.

    Elle a écrit « les cailloux du Saint-Laurent » comme un dialogue entre une femme (elle-même) et un homme (Christian Pacher lui prête sa voix), entre deux terres, unies à travers les époques, malgré les ruptures et le sentiment d’exil. Elle part en bateau là-bas en 1600 et revient en avion. Cette balade fantasmée de 400 ans et 6000 Km évoque la relation entre les peuples issus des Français et le peuple français. Dans l’inconscient des Québécois et des Acadiens, ils sont les descendants de ceux dont la France ne voulait pas. Avec les Français, ils sont comme des frères et des sœurs dont certains auraient été aimés par leurs parents et les autres délaissés. Donc dans ce spectacle, sont évoqués cousinage, amours, malentendus, rires et larmes à l’encre violette ou par courriel dans des chansons qui ont les accents du fantasme qui alimente les relations entre les peuples français et québécois, et la saveur des langages des deux côtés de l’Atlantique. C’est l’occasion de saluer les gens des deux pays, de les remercier, de chercher pourquoi on part, pourquoi on reste.

    Hier comme aujourd’hui, un homme et une femme se parlent. Ils sont drôles, émouvants, captivants.

    Du rock au folk, de la ballade au rap, avec une pointe d’humour et des épices salées sucrées, les chansons sont écrites et composées par Christine Authier.

    EXTRAITS DE PRESSE

    « Son compagnon de scène est Christian Pacher, prêt au grand voyage, qui nous fait franchir 400 ans et 6000 iikilomètres en une heure et demie. Au programme : les larmes aux yeux de rire et d’émotions, les pieds qui dansent tout seuls, les poussées de folie vocale et musicale, et ces moments de confidence où plus rien n’existe que cette femme et sa voix d’eau pure. C’est un spectacle total ! On y croise ses ancêtres, partis au Canada il y a 400 ans, mais aussi ceux qui sont restés à les attendre « ici ». On la trouve « ben mêlée » avec les différents langages et accents que Poitou et Québec lui offrent, et avec lesquels elle jongle comme une acrobate. On découvre son « homme-sœur » habitant de l’autre rive, perdu lui aussi dans des amours impossibles. On frise la scène de ménage…

    On se connecte sur « c’est l’fun.com » pour se chercher, se frôler, se rater, se niaiser…. Lorsqu’arrivent Louis XIV, Colbert et les Filles du Roi, l’Histoire se tord de rire et nous aussi.

    Mais s’ensuit le merci aux Canadiens français morts pour la France de 1942 à 1944, et tous les cœurs restent suspendus.

    Christine Authier peut tout peut tout exprimer. Même la douleur impassible de l’Indien Abénakis qui n’a pas sa place dans le récit, qui n’a pas sa place dans le monde.

    Accompagnée par quatre formidables musiciens (guitare, violon, violoncelle, basse), avec un Christian Pacher qui lui tient la dragée haute….Christine Authier nos donne à vivre son histoire. Une poitevine fascinée et fâchée par les Amériques.

    « Y a du chagrin des deux côtés » dit-elle. Une chanteuse aux douceurs redoutables et aux paroles intra-veineuses. Un reste d’enfance la rend joueuse, et son art de la scène fait le reste : un spectacle inoubliable et magnifique ».

    (Nouchka Bell, Vancouver)

     

    « Christine Authier, chanteuse atypique à la voix de soie qu brode des motifs d’amour avec cruauté et connivence, à la plume légère qui organise à sa guise des rencontres et des ruptures, chante les pionnières, ces femme qui ont bousculé les conventions et réalisé leurs rêves. »

    (Centre Presse)

    « Le public passe par les états d’âme les plus extrêmes…. Embarqué dans une aventure sans pareille. Les aspérités du malheur sont gommées à la chaleur des voix et des chants. Reste le bonheur, nourri par les épreuves de l’incessante question : partir ou revenir ? « Les Cailloux du Saint-Laurent » symbolisent toutes les distances, les séparations, les amours lointaines ».

    (Courrier de l’Ouest)

     

    « Difficile de ne pas sourire et rêver à l’écoute des paroles tantôt douces, tantôt crues, des paroles pleines de simplicité et d’humour. Après une telle cure de bonne humeur, il n’est pas étonnant d’assister à l’ovation des cinq artistes ».

    (Nouvelle République)

     

    Contacts : bonjourlesgens@hotmail.com / Mariek 06 62 83 04 26

    www.myspace.com/christineauthier

    www.christineauthier.com

    Ce texte nous a été transmis par Christian Renaud. La musique de Christine Authier est présente dans le film qu'il a fait sur la Grande Traversée de l'Atlantique et le Retour aux Sources.


  • Mes Aïeux ont débarqué à l'Assomption!

     

    Si vous y êtes allés, parlez-nous en !          (Visitez leur site)

    "Après plus de deux ans d’attente, le groupe Mes Aïeux foulera le sol lanaudois les 27, 28 et 29 novembre prochain au théâtre Hector-Charland, à L’Assomption. Les inconditionnels partisans du groupe « néo-trad » auront donc vu leur patience être récompensée,..."

    Lisez l'article de Daniel Richard dans l'Hebdo Rive Nord

     

     





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